Un lycee qui fait la revolution francaise en Israel !
« Ton role est d’allumer des lanternes :
il t’incombe de rechercher et de trouver les lanternes
qui ne sont toujours pas allumees et de les allumer »
Rabbi Shalom Dov Ber de Loubavitch.
Un nouvel établissement d’éducation et de formation
Introduction
L’étude sociologique sur les étudiants francophones en Israël, entreprise en 2005 par le Dr Erik Cohen de l’Université de Bar Ilan -Tel Aviv, met en évidence leurs attentes et leurs difficultés quant à une intégration satisfaisante.
Le désir de ces adolescents est de s'intégrer pleinement et rapidement dans la société israélienne, notamment en ce qui concerne leur avenir professionnel. Si 36% d'entre eux préparent le bac, 35% participent à des études non sanctionnées par un diplôme (telles les études en Yeshiva, Méhina,etc.). Cette estimation, assez étonnante, exprime un certain désarroi, ou tout au moins une recherche, une difficulté à trouver sa place dans des structures certes existantes mais ne répondant pas toujours aux réalités de la situation de ces nouveaux immigrants : désir de s'intégrer rapidement, un bilan scolaire chaotique et des lacunes difficiles à surmonter.
Il faut également noter qu'il leur est difficile de se positionner par rapport à leur recherche d'identité religieuse : choisir une structure d'accueil, c'est pour eux également choisir une structure de vie religieuse. S'inscrire à un programme éducatif religieux peut se révéler trop contraignant mais, par contre, conserver une tradition religieuse est une nécessité. En Israël, il reste difficile de trouver une structure qui permette un accompagnement et un épanouissement spirituels, tout en respectant les traditions de ces jeunes Juifs de France qui ne désirent pas une vie profane.
Un nouvel etablissement d’education et de formation
Le projet
Il s'agit d’une structure différente qui va répondre aux attentes de ces adolescents francophones immigrants, en proposant un cursus scolaire classique de préparation au baccalauréat, qui comprendra une préparation à des activités professionnelles, et ce dans un cadre de vie juif qui respectera les acquis et les différences religieuses.
Le Bac :
Nous voulons permettre aux élèves francophones de s'intégrer dans le système scolaire israélien, qu'ils soient en difficulté scolaire ou en panne de motivation. Nous proposons le cursus minimal à l'obtention du baccalauréat, soit 21 à 23 unités de valeur dans les disciplines obligatoires. Ce qui permettra à un grand nombre, d’envisager l’obtention du Bac.
Les etudes professionnelles :
Deux branches d'activités choisies en fonction de la demande sur le marché du travail. Les métiers de l'audiovisuel, l'infographie. Ces études seront optionnelles et payantes ; elles prépareront à une intégration dans la vie professionnelle, dans les domaines souvent très pratiques et convoités par les jeunes, comme la communication et l'audiovisuel.
Nous sommes conscients que la réussite de ce cursus scolaire dépend pour une bonne part des motivations de l'équipe pédagogique qui s'engage dans ce projet. La qualité de la relation pédagogique qui s'instaurera avec l'élève réhabilitera le désir d'étudier ; les compétences humaines et professionnelles de chaque professeur permettent d'accompagner chaque élève vers sa réussite.
Le cadre de vie :
Il s'agit de proposer un cadre chaleureux régi par nos préceptes de vie juive, qui respectera le rythme, le développement et les sensibilités de chacun, l'accompagnant et l'aidant dans sa recherche spirituelle. Notre structure s'appliquera à être dynamique dans la proximité avec chacun de ses élèves et à leur fournir les outils d'apprentissage de la vie matérielle et spirituelle. Etudier, apprendre, développer son potentiel, expérimenter la pratique des Mitzvot, développer le désir d'entreprendre, c'est l'esprit que nous voulons insuffler à ce projet pour aider les jeunes immigrants francophones à s'intégrer en Israël et à prendre une part active dans la vie de notre pays.
La particularite du programme "Kol Mevassere" :
Un programme religieux etape par etape
Obligation de presence aux 3 tefilots :
Sur ce point étant donné que notre intention est de ne pas être trop imposants, et laisser évoluer les élèves en les accompagnant, dés le recrutement nous mettrons en avant l'obligation de présence et d'expliquer c'est directive comme un besoin technique de s'intégrer au sein d'un lycée et que l'on organisera la tefila chaque jour tel un cours avec un apprentissage de l'utilisation d'un sidour et les différentes règles et par la suite une préparation à la 'hazanout et à la lecture de la Torah.
Shabbat :
Pour des raisons évidentes, on ne peut pas ne pas exiger la surveillance du Shabbat, et depuis le recrutement annoncé que le respect du shabbat est obligatoire avec une nuance, qui est que si l'élève n'a jamais respecter complètement shabbat et si il désir le respecter alors recevra des cours particuliers expliquant les différents aspects du shabbat, spirituel, hala'ha (kitsour Sh. A.), et ses premiers shabbatot chez le tsevet, ne faire que 1 Shabbat sur 6 est aussi un moyen le faire mieux apprécier.
La reduction des etudes juives :
Nous proposons de 2 heures par jour, sur des matières attractives tel que la pensée juive, hassidout, aggadot, chansons juives…
Et la proposition de cours optionnels en fin de journée.
Caracteristiques :
L’année scolaire 2008/2009 débutera par la classe de seconde, avec un effectif de 25 élèves.
L’équipe est composée d’un Rav Me’hane’h (professeur principal), d’un moniteur, d’un directeur de programme, d’une secrétaire à mi-temps, d’une Eim Bait (accompagnatrice), et bien sur de l’ensemble des enseignants nécessaires au programme.
L’internat est composé de 4 appartements de 3 pièces situés sur le campus du lycée et bénéficies de tout le confort (cuisine, salle de bain, wc), sa conception permet de réduire la difficulté d’être éloigné de ses parents.
Le programme s’intègre au lycée Torani de Mevasseret Tsion « Kol Mevassere », situé à l’entrée de Jérusalem.
Aaron Desvignes
Directeur de projet 0546526641
Vous pouvez ecrire soit
- a ou pour une association
- a une institution,fondation...
- repondre a cette lettre
- ou meme ecrire sur un theme particulier
Laissez moi votre lettre je la posterai pour vous!
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Jewperheroes !
For most of my life, I lived a Clark Kent existence: that of a Jew residing in Manchester, England, intent on blending into the modern, secular world. I kept my Hebrew name a closely guarded secret; my desire to assimilate required no less. A degree in film history led to a job scouting movie locations. My work was exciting, even a bit glamorous, but something was missing.
Seeking to fulfill needs that were not met by MTV and materialism, I set out to meet my great-great-grandparents and finally learn about my Jewish heritage. Trips to Israel followed, where I enrolled in the life-changing Mayanot Institute, a Chabad yeshiva in Jerusalem. I eventually reverted to my Hebrew name (from Simon to Simcha). My transformation was complete.
Yet I never entirely lost my love of pop culture. When marriage brought me to New York City, I began thinking about all the Jewish writers, artists and editors who'd lived and worked there too – and who'd created a whole new art form: the comic book. As the rabbi of the esteemed Pratt Institute – the very school many comics pioneers once attended – I began to wonder why comic books had been invented in that particular time and place, by those particular men.
Every Friday night, my wife and I cram a crowd of Jewish Pratt students into our tiny, over-priced Brooklyn Heights apartment. (We often have so many guests we have to double slice our gefilte fish!) While my two sons, ages three and one, play around under the table, we grown-ups discuss the meaning of life, over copious bowls of steaming chicken soup, until the wee hours.
Interacting with these gifted art students challenged me, as a rabbi, to look at those early comic book pioneers from a new, theological perspective. I re-read the classic superhero comics of my youth – this time, through the lens of Jewish tradition and spiritual belief.
The sages expound that all human knowledge and wisdom is contained within the Bible's 304,805 letters of ink and parchment. (No wonder Jews are called the People of the Book.) The great eighteenth century chassidic master Rabbi Shneur Zalman of Liadi taught that Jews should relate the weekly Torah portion to events in their own lives, right then and there. He called this way of reading "living with the times."
As Eastern European Jewish immigrants poured into New York's Lower East Side in the early 1900's, they viewed the stories of the Bible through the prism of their struggles in a sometimes baffling new land, and passed them on to their children. And some of those children in turn retold those Jewish tales using dots of colored ink on pulp paper, beginning in the 1930's.
In those days, the shadow of persecution was descending upon European Jews once more, and no one seemed willing to come to their rescue. That decade also witnessed the rise of anti-Semitism in the United States: Nazi sympathizer Fritz Kuhn of the German-American Bund led legions of rabid followers on marches through many cities. Ivy League colleges intentionally kept the number of Jewish students to a minimum, while restricted country clubs and even entire neighborhoods barred Jews altogether.
Clearly, the world needed heroes. So even before their own country went to war with Hitler, young Jewish American artists and writers (some barely out of their teens) began creating powerful characters who were dedicated to protecting the innocent and conquering evil.
Their names include Superman creators Jerry Siegel and Joe Shuster; Batman creators Bob Kane (born Kahn) and Bill Finger and their protégé, Jerry Robinson, who invented the immortal villain the Joker; the Spirit creator and graphic novel pioneer Will Eisner; publisher Julius Schwartz, known as the "father of science-fiction comics" and the man behind the Justice League of America; Martin Nodell, the man behind the Green Lantern; Jack Kirby (born Kurtzberg) and Joe Simon, who brought the world Captain America; Max Gaines, the true father of comic books, his son William, publisher of MAD magazine, and William's partner in satire, Harvey Kurtzman; Stan Lee (born Stanley Martin Lieber), who created Spider-Man, the Incredible Hulk, the Fantastic Four and the X-Men – and his boss (and wife's cousin), Martin Goodman of Marvel Comics.
The end of World War II and the defeat of Hitler saw a brief decline in the popularity of superhero comics, but that didn't last long. After all, every generation needs archetypal heroes of its own, larger-than-life characters who evoke (sometimes blatantly, sometimes subconsciously) the eternal themes found in the Bible and within the Jewish experience.
Comic book superheroes have evolved to reflect the changing times, as well as the changing attitudes of writers, artists and readers. In the 1940's, superheroes appointed themselves saviors of a world riddled with real-life villains; their fictional exploits boosted the morale of those fighting flesh and blood Nazis, Communists and other threats to "truth, justice and the American way."
During the tumultuous 1960's, comic book characters became more complex and ambiguous: flawed, reluctant heroes with their own insecurities to cope with (when they weren't fighting crime).
Then, in the 1970's, comic books (some of them, anyway) became "graphic novels." Now more popular than ever, these comics for adults are more realistic, downbeat, "artistic." Graphic novels tend to focus on average (sometimes below average) people and their everyday lives, instead of superheroes with extraordinary powers.
The best examples of the genre also illuminate the universal human condition, lifting them to the level of literature. This difficult-to-accomplish blend of the quotidian with the cosmic gives graphic novels their depth and explains their growing appeal to younger people whose vocabulary is visual rather than verbal. Graphic novels explore the human condition in general (and Jewish American identity in particular) through the eyes of their Job-like anti-heroes. Today's Jewish graphic novelists – Bob Kanigher, Chris Claremont, Ben Katchor, Daniel Clowes, Sammy Harkham, Joann Sfar, Diane Noomin, Joe Kubert, Harvey Pekar and Art Spiegelman, to name a few – have joined the pantheon of the comic book pioneers.
Each generation of Jewish comic book creators and graphic novelists explored the ambiguities of assimilation, the pain of discrimination, and the particularly Jewish theme of the misunderstood outcast, the rootless wanderer. Again and again, the triumph of good over evil remained a central theme.
Jack Kirby – known as the King of Comics – once said, "In the movies, the good always triumphed over evil. Underneath all the sophistication of modern comics, all the twists and psychological drama, good triumphs over evil. Those are the things I learned from my parents and from the Bible. It's part of my Jewish heritage."
My new book Up, Up and Oy Vey seeks to reclaim a vital component of that heritage. While the Jewish contribution to film, theater, music, and comedy is well known, my book is the first to focus exclusively on the Jewish role in the creation of these all-American superheroes.
Just think: comic books that our mothers once tossed out as trash are now worth thousands of dollars and studied within the highest levels of academia. And, most amazingly, they actually represent an important facet of American Jewish culture. We'll never know for sure how many thirteen-year-old boys like me squirreled themselves away with a stash of comic books when they were supposed to be studying for their bar mitzvahs. The thing is, they were on to something.
Seventy years later, comics have evolved from "throwaway" escapism for kids to a multimillion dollar business encompassing movies, television, music, toys – and, of course, movies.
This year alone, the murderous monks of "The Da Vinci Code" were battered at the box office by the mutants of "X-Men: The Last Stand." Now a new superhero-inspired blockbuster seems poised to become an even bigger hit with moviegoers. Of all the comic book characters in history, one stands above the rest both as a universally recognized symbol of American values and Jewish themes. That beloved superhero finally comes home this week with the release of the movie "Superman Returns."
In this latest installment, the Man of Steel returns to Metropolis at the end of a cosmic quest: investigating the facts behind the destruction of his home planet, Krypton. And things on Earth have changed. Lois Lane, the love of Superman's life, has moved on in his absence. Worse, his old nemesis, Lex Luthor, is plotting to render the Superman powerless once and for all – and then destroy the helpless, hero-less world.
"Superman Returns" is one of the most expensive movies ever made. It's a long way from 1938, when a couple of Jewish boys from Ohio were paid $130 for the very first Superman story – and sold away their future residuals. (Today, a mint condition copy of that comic book – Action Comics # 1, June 1938 – if you're lucky enough to find one, will set you back a cool half-million bucks or more).
From the very beginning, the Superman mythos reflected his creators' Jewish backgrounds. For example, the superhero's origin story (as fans refer to it) bears more than a passing resemblance to the great Exodus tale in which Jochebed places Moses in a reed basket and sets him afloat on the Nile before he can be killed by the Pharaoh's henchmen.
Likewise, Superman's father Jor-El, launches a little rocket ship containing his son into outer space when he realizes Krypton is about to disintegrate. (Diaspora has been a tragic fact of much of Jewish history – think of the kindertransports that whisked so many children to safety from Nazi Germany.)
Superman's Kryptonian name also reveals biblical underpinnings. Superman is named Kal-El and his father Jor-El. The suffix "El" is one of the ancient names for God, used throughout the Bible. It is also found in the names of great prophets like Isra-el, Samu-el, and Dani-el and angels such as Micha-el and Gavri-el. According to Jewish tradition, Micha-el is the great combatant angel who fights Satan. He could easily be deemed the flying Superman's biblical alter ego.
The prefix of Superman's name, "Kal," is the root of several Hebrew words: "with lightness," "swiftness," "vessel," and "voice." We may never know whethe Siegel and Shuster were aware of these precise Hebrew translations; nevertheless, the name could not be more apt.
In Jewish tradition, the act of naming has been profoundly and mysteriously connected with creativity. The birth of Superman offers more examples – even the fact that Shuster and Siegel first submitted their cartoons under a Gentile-sounding pseudonym, to better their chances of getting published.
More profoundly, the two young men conceived of a brilliant idea: they gave their superhuman hero a secret identity, too, along with an alternative (and very WASP-ish) name: that of the all-too human reporter Clark Kent. Subconsciously, Shuster and Siegel had created a complex symbol of immigrant identity and assimilation.
Practically speaking, this notion of "double identity" allowed for almost endless storyline twists and thematic depth. On another level, it added considerably to the "mythology" that would eventually accrue around this fictional crime fighter. From then on, double identities became a recurring theme throughout comic book culture and mythology, with Spider-Man and Batman employing this character device to great effect.
According to the sages, we all have a double identity, just like the most enduring of the superheroes. Man is the fusion of matter and spirit, a body and soul. The body cleaves to this physical world, while the soul longs for the spiritual. Likewise, many comic book characters are reluctant heroes who often want nothing more than to give up their incredible powers.
With great power comes great responsibility," as Spider-Man says, usually in a rueful, resigned tone of voice that hints he'd much rather be an ordinary mortal. And who wouldn't want to walk away from our daunting duties and mundane cares, at least once in a while? Especially after a long, hard day of leaping tall buildings in a single bound.
But in reality, God created the world so He would "have a dwelling in the lower realms."(Hebrew:dira b'tachtonim). The likes of Superman or Spider-Man have got a tough, thankless job to do in those "lower realms," fighting for what's right, without getting much credit.
Look closely: we're all surrounded by superheroes. At the Pratt Institute, I see aspiring Jewish artists openly grappling with and embracing their faith within their work. I also see my own efforts mirrored by the brave Chabad-On-Campus rabbis (& Super-rebbetzins) who make sure that every Jewish student is aware of his or her heritage, teaching the Jewish leaders of tomorrow not to grow-up to be like the bumbling Clark Kent but rather to become Jewperheroes.
Comic book ethics are Jewish ethics. Like all of us, Superman and his colleagues are called to "perform wonders," to repair order and balance in the world. We may not do it while wearing a cape and a big "S" on our chests, but universal messages of duty and justice still come across clearly, via the unlikely vehicle of comic books for kids.
Rabbi Simcha Weinstein, the "Comic Book Rabbi," is the founder of the Jewish Student Foundation of Downtown Brooklyn, an educational and cultural center that strives to ignite pride and commitment through innovative educational and social experiences in an open environment. A sought after television and radio guest, he has been profiled in many publications. He is also the author of the new book "Up, Up and Oy Vey! How Jewish History, Culture and Values Shaped the Comic Book Superhero"
Rabbi Simcha Weinstein
The Comic Book Rabbi
superrabbi
Brooklyn - USA
Seeking to fulfill needs that were not met by MTV and materialism, I set out to meet my great-great-grandparents and finally learn about my Jewish heritage. Trips to Israel followed, where I enrolled in the life-changing Mayanot Institute, a Chabad yeshiva in Jerusalem. I eventually reverted to my Hebrew name (from Simon to Simcha). My transformation was complete.
Yet I never entirely lost my love of pop culture. When marriage brought me to New York City, I began thinking about all the Jewish writers, artists and editors who'd lived and worked there too – and who'd created a whole new art form: the comic book. As the rabbi of the esteemed Pratt Institute – the very school many comics pioneers once attended – I began to wonder why comic books had been invented in that particular time and place, by those particular men.
Every Friday night, my wife and I cram a crowd of Jewish Pratt students into our tiny, over-priced Brooklyn Heights apartment. (We often have so many guests we have to double slice our gefilte fish!) While my two sons, ages three and one, play around under the table, we grown-ups discuss the meaning of life, over copious bowls of steaming chicken soup, until the wee hours.
Interacting with these gifted art students challenged me, as a rabbi, to look at those early comic book pioneers from a new, theological perspective. I re-read the classic superhero comics of my youth – this time, through the lens of Jewish tradition and spiritual belief.
The sages expound that all human knowledge and wisdom is contained within the Bible's 304,805 letters of ink and parchment. (No wonder Jews are called the People of the Book.) The great eighteenth century chassidic master Rabbi Shneur Zalman of Liadi taught that Jews should relate the weekly Torah portion to events in their own lives, right then and there. He called this way of reading "living with the times."
As Eastern European Jewish immigrants poured into New York's Lower East Side in the early 1900's, they viewed the stories of the Bible through the prism of their struggles in a sometimes baffling new land, and passed them on to their children. And some of those children in turn retold those Jewish tales using dots of colored ink on pulp paper, beginning in the 1930's.
In those days, the shadow of persecution was descending upon European Jews once more, and no one seemed willing to come to their rescue. That decade also witnessed the rise of anti-Semitism in the United States: Nazi sympathizer Fritz Kuhn of the German-American Bund led legions of rabid followers on marches through many cities. Ivy League colleges intentionally kept the number of Jewish students to a minimum, while restricted country clubs and even entire neighborhoods barred Jews altogether.
Clearly, the world needed heroes. So even before their own country went to war with Hitler, young Jewish American artists and writers (some barely out of their teens) began creating powerful characters who were dedicated to protecting the innocent and conquering evil.
Their names include Superman creators Jerry Siegel and Joe Shuster; Batman creators Bob Kane (born Kahn) and Bill Finger and their protégé, Jerry Robinson, who invented the immortal villain the Joker; the Spirit creator and graphic novel pioneer Will Eisner; publisher Julius Schwartz, known as the "father of science-fiction comics" and the man behind the Justice League of America; Martin Nodell, the man behind the Green Lantern; Jack Kirby (born Kurtzberg) and Joe Simon, who brought the world Captain America; Max Gaines, the true father of comic books, his son William, publisher of MAD magazine, and William's partner in satire, Harvey Kurtzman; Stan Lee (born Stanley Martin Lieber), who created Spider-Man, the Incredible Hulk, the Fantastic Four and the X-Men – and his boss (and wife's cousin), Martin Goodman of Marvel Comics.
The end of World War II and the defeat of Hitler saw a brief decline in the popularity of superhero comics, but that didn't last long. After all, every generation needs archetypal heroes of its own, larger-than-life characters who evoke (sometimes blatantly, sometimes subconsciously) the eternal themes found in the Bible and within the Jewish experience.
Comic book superheroes have evolved to reflect the changing times, as well as the changing attitudes of writers, artists and readers. In the 1940's, superheroes appointed themselves saviors of a world riddled with real-life villains; their fictional exploits boosted the morale of those fighting flesh and blood Nazis, Communists and other threats to "truth, justice and the American way."
During the tumultuous 1960's, comic book characters became more complex and ambiguous: flawed, reluctant heroes with their own insecurities to cope with (when they weren't fighting crime).
Then, in the 1970's, comic books (some of them, anyway) became "graphic novels." Now more popular than ever, these comics for adults are more realistic, downbeat, "artistic." Graphic novels tend to focus on average (sometimes below average) people and their everyday lives, instead of superheroes with extraordinary powers.
The best examples of the genre also illuminate the universal human condition, lifting them to the level of literature. This difficult-to-accomplish blend of the quotidian with the cosmic gives graphic novels their depth and explains their growing appeal to younger people whose vocabulary is visual rather than verbal. Graphic novels explore the human condition in general (and Jewish American identity in particular) through the eyes of their Job-like anti-heroes. Today's Jewish graphic novelists – Bob Kanigher, Chris Claremont, Ben Katchor, Daniel Clowes, Sammy Harkham, Joann Sfar, Diane Noomin, Joe Kubert, Harvey Pekar and Art Spiegelman, to name a few – have joined the pantheon of the comic book pioneers.
Each generation of Jewish comic book creators and graphic novelists explored the ambiguities of assimilation, the pain of discrimination, and the particularly Jewish theme of the misunderstood outcast, the rootless wanderer. Again and again, the triumph of good over evil remained a central theme.
Jack Kirby – known as the King of Comics – once said, "In the movies, the good always triumphed over evil. Underneath all the sophistication of modern comics, all the twists and psychological drama, good triumphs over evil. Those are the things I learned from my parents and from the Bible. It's part of my Jewish heritage."
My new book Up, Up and Oy Vey seeks to reclaim a vital component of that heritage. While the Jewish contribution to film, theater, music, and comedy is well known, my book is the first to focus exclusively on the Jewish role in the creation of these all-American superheroes.
Just think: comic books that our mothers once tossed out as trash are now worth thousands of dollars and studied within the highest levels of academia. And, most amazingly, they actually represent an important facet of American Jewish culture. We'll never know for sure how many thirteen-year-old boys like me squirreled themselves away with a stash of comic books when they were supposed to be studying for their bar mitzvahs. The thing is, they were on to something.
Seventy years later, comics have evolved from "throwaway" escapism for kids to a multimillion dollar business encompassing movies, television, music, toys – and, of course, movies.
This year alone, the murderous monks of "The Da Vinci Code" were battered at the box office by the mutants of "X-Men: The Last Stand." Now a new superhero-inspired blockbuster seems poised to become an even bigger hit with moviegoers. Of all the comic book characters in history, one stands above the rest both as a universally recognized symbol of American values and Jewish themes. That beloved superhero finally comes home this week with the release of the movie "Superman Returns."
In this latest installment, the Man of Steel returns to Metropolis at the end of a cosmic quest: investigating the facts behind the destruction of his home planet, Krypton. And things on Earth have changed. Lois Lane, the love of Superman's life, has moved on in his absence. Worse, his old nemesis, Lex Luthor, is plotting to render the Superman powerless once and for all – and then destroy the helpless, hero-less world.
"Superman Returns" is one of the most expensive movies ever made. It's a long way from 1938, when a couple of Jewish boys from Ohio were paid $130 for the very first Superman story – and sold away their future residuals. (Today, a mint condition copy of that comic book – Action Comics # 1, June 1938 – if you're lucky enough to find one, will set you back a cool half-million bucks or more).
From the very beginning, the Superman mythos reflected his creators' Jewish backgrounds. For example, the superhero's origin story (as fans refer to it) bears more than a passing resemblance to the great Exodus tale in which Jochebed places Moses in a reed basket and sets him afloat on the Nile before he can be killed by the Pharaoh's henchmen.
Likewise, Superman's father Jor-El, launches a little rocket ship containing his son into outer space when he realizes Krypton is about to disintegrate. (Diaspora has been a tragic fact of much of Jewish history – think of the kindertransports that whisked so many children to safety from Nazi Germany.)
Superman's Kryptonian name also reveals biblical underpinnings. Superman is named Kal-El and his father Jor-El. The suffix "El" is one of the ancient names for God, used throughout the Bible. It is also found in the names of great prophets like Isra-el, Samu-el, and Dani-el and angels such as Micha-el and Gavri-el. According to Jewish tradition, Micha-el is the great combatant angel who fights Satan. He could easily be deemed the flying Superman's biblical alter ego.
The prefix of Superman's name, "Kal," is the root of several Hebrew words: "with lightness," "swiftness," "vessel," and "voice." We may never know whethe Siegel and Shuster were aware of these precise Hebrew translations; nevertheless, the name could not be more apt.
In Jewish tradition, the act of naming has been profoundly and mysteriously connected with creativity. The birth of Superman offers more examples – even the fact that Shuster and Siegel first submitted their cartoons under a Gentile-sounding pseudonym, to better their chances of getting published.
More profoundly, the two young men conceived of a brilliant idea: they gave their superhuman hero a secret identity, too, along with an alternative (and very WASP-ish) name: that of the all-too human reporter Clark Kent. Subconsciously, Shuster and Siegel had created a complex symbol of immigrant identity and assimilation.
Practically speaking, this notion of "double identity" allowed for almost endless storyline twists and thematic depth. On another level, it added considerably to the "mythology" that would eventually accrue around this fictional crime fighter. From then on, double identities became a recurring theme throughout comic book culture and mythology, with Spider-Man and Batman employing this character device to great effect.
According to the sages, we all have a double identity, just like the most enduring of the superheroes. Man is the fusion of matter and spirit, a body and soul. The body cleaves to this physical world, while the soul longs for the spiritual. Likewise, many comic book characters are reluctant heroes who often want nothing more than to give up their incredible powers.
With great power comes great responsibility," as Spider-Man says, usually in a rueful, resigned tone of voice that hints he'd much rather be an ordinary mortal. And who wouldn't want to walk away from our daunting duties and mundane cares, at least once in a while? Especially after a long, hard day of leaping tall buildings in a single bound.
But in reality, God created the world so He would "have a dwelling in the lower realms."(Hebrew:dira b'tachtonim). The likes of Superman or Spider-Man have got a tough, thankless job to do in those "lower realms," fighting for what's right, without getting much credit.
Look closely: we're all surrounded by superheroes. At the Pratt Institute, I see aspiring Jewish artists openly grappling with and embracing their faith within their work. I also see my own efforts mirrored by the brave Chabad-On-Campus rabbis (& Super-rebbetzins) who make sure that every Jewish student is aware of his or her heritage, teaching the Jewish leaders of tomorrow not to grow-up to be like the bumbling Clark Kent but rather to become Jewperheroes.
Comic book ethics are Jewish ethics. Like all of us, Superman and his colleagues are called to "perform wonders," to repair order and balance in the world. We may not do it while wearing a cape and a big "S" on our chests, but universal messages of duty and justice still come across clearly, via the unlikely vehicle of comic books for kids.
Rabbi Simcha Weinstein, the "Comic Book Rabbi," is the founder of the Jewish Student Foundation of Downtown Brooklyn, an educational and cultural center that strives to ignite pride and commitment through innovative educational and social experiences in an open environment. A sought after television and radio guest, he has been profiled in many publications. He is also the author of the new book "Up, Up and Oy Vey! How Jewish History, Culture and Values Shaped the Comic Book Superhero"
Rabbi Simcha Weinstein
The Comic Book Rabbi
superrabbi
Brooklyn - USA
COMITE EHADFRANCE
Je vous présente notre Association qui a fêté cette année ses 20 années d'existence ! Créée le 26 janvier 1987, elle a son siège social à Marseille, 2e capitale de France et non à Paris, avec des antennes à Lyon, Montpellier, Nice, Toulon, C'est là son originalité !
Son action s'est accentuée dès la dernière Intifada ! Notre émoi était tel qu'il fallait faire quelque chose de concret ! Un groupe de bénévoles a pensé qu'il serait intéressant d'expédier des containers de matériels médical en Israel récupérés auprès de particuliers, de cliniques, de maisons de retraite, de pharmaciens. Sur les conseils du Consul Général d'Israël de l'époque, nous avons offert nos services à YAD SARAH Jérusalem qui a accepté de recevoir un premier container à titre d'essai. Bien sûr, nous nous sommes appliqués à sélectionner le meilleur du meilleur et avons réussi à remplir un premier container de 60 m3. Nous avons ramassé les fonds pour payer le transport par bateau et avons attendu les commentaires : nous avions réussi à répondre aux besoins de cette Institution unique en son genre. Nous avons continué et avons pu expédier 9 containers à cette même destination.
Nous avons diversifié les destinataires et à ce jour, nous avons également servi HAI BAHEM avec 1 container de 60 m3 de vêtements et espérons avant les fêtes de Hanouccah parvenir à expédier un second de vêtements et jouets. Ce sera le 15e container précédé par un 14e de matériel médical constitué de fauteuils roulants, lits médicalisés, fauteuils coquilles etc..
Parallèlement, nous expédions également individuellement des fauteuils roulants manuels et électriques aux personnes qui nous en font la demande appartenant à des associations caritatives.
Nous nous tenons à votre disposition pour d'autres détails si nécessaire.
Cordial Chalom !
Francine YANA / Présidente Comité EHADFRANCE
Marseille - France
Son action s'est accentuée dès la dernière Intifada ! Notre émoi était tel qu'il fallait faire quelque chose de concret ! Un groupe de bénévoles a pensé qu'il serait intéressant d'expédier des containers de matériels médical en Israel récupérés auprès de particuliers, de cliniques, de maisons de retraite, de pharmaciens. Sur les conseils du Consul Général d'Israël de l'époque, nous avons offert nos services à YAD SARAH Jérusalem qui a accepté de recevoir un premier container à titre d'essai. Bien sûr, nous nous sommes appliqués à sélectionner le meilleur du meilleur et avons réussi à remplir un premier container de 60 m3. Nous avons ramassé les fonds pour payer le transport par bateau et avons attendu les commentaires : nous avions réussi à répondre aux besoins de cette Institution unique en son genre. Nous avons continué et avons pu expédier 9 containers à cette même destination.
Nous avons diversifié les destinataires et à ce jour, nous avons également servi HAI BAHEM avec 1 container de 60 m3 de vêtements et espérons avant les fêtes de Hanouccah parvenir à expédier un second de vêtements et jouets. Ce sera le 15e container précédé par un 14e de matériel médical constitué de fauteuils roulants, lits médicalisés, fauteuils coquilles etc..
Parallèlement, nous expédions également individuellement des fauteuils roulants manuels et électriques aux personnes qui nous en font la demande appartenant à des associations caritatives.
Nous nous tenons à votre disposition pour d'autres détails si nécessaire.
Cordial Chalom !
Francine YANA / Présidente Comité EHADFRANCE
Marseille - France
Presentation de l'Oeuvre d'Isidore Isou
ISIDORE ISOU (1925)
L’auteur de La Créatique ou la Novatique, refondateur général des domaines de la Culture, des Sciences, des Techniques, de la Philosophie et de la Vie, est né en 1925 en Roumanie. Fuyant les désastres de la Seconde Guerre mondiale, il s’établit à Paris où il arrive en août 1945, porteur de notes et de textes rédigés dans son pays natal, parmi lesquels figure son ouvrage devenu mythique qui paraîtra en 1947, chez Gallimard.
Il s’agit de Introduction à une nouvelle poésie et à une nouvelle musique, dont les révélations fondamentales marqueront des générations d’artistes et dont les commissaires d’une récente manifestation consacrée à Dada et intitulée Dadada 1916-2006 auront, exactement quarante ans après les découvertes majeures de cet ouvrage, l’occasion de réaffirmer que « la recherche lettriste d’Isou exercera par la suite une influence déterminante sur les théorisations et expérimentations futures de la poésie concrète, visuelle en en anticipant les contenus mêmes. » L’Agrégation d’un nom et d’un messie qui paraîtra la même année explicite sa vision multiplicatrice de la création.
Ces premières sommes qui exposent des vues inédites sur l’art sonore et la culture acquise seront propagées grâce à plusieurs coups d’éclat retentissants, comme celui du Théâtre du Vieux Colombier où, contre Tristan Tzara, il annonce la naissance d’une révolution poétique. Il rencontre les principaux intellectuels que compte le monde littéraire de son époque et, notamment, André Breton auquel, en vain, il a tenté de s’allier. Grâce à ses écrits, sa fracassante démarche lui permet non seulement de se faire un nom, mais également par la fondation même d’un nouveau mouvement culturel, de dépasser toutes les écoles antérieures faisant encore autorité dans le panorama parisien de l’après-guerre. Au-delà du bouleversement de la poésie, Isou révolutionnera également l’ensemble des domaines artistiques, en particulier le théâtre (Fondements pour la transformation intégrale du théâtre,1952) ou le cinéma (Esthétique du cinéma, 1952), sans oublier les arts plastiques avec l’invention de l’hypergraphie (1950), de l’Art Infinitésimal (1956), de l’Art Supertemporel (1960). Mais il investira également d’autres champs fondamentaux de la connaissance, notamment l’économie politique avec son prophétique « Soulèvement de la jeunesse » qui mettra pour la première fois au premier plan l’importance de la jeunesse comme force authentiquement créatrice et révolutionnaire.
Grâce aux efforts inlassablement répétés par son fondateur et les nombreux disciples qui se succéderont, la « didacture lettriste » survivra à tous les groupes éphémères ou néo-dada promus par les musées et le marché de l’art par de toujours nouvelles explorations, découvertes et publications, ainsi que la réalisation d’une multitude d’œuvres dans les domaines les plus variés. Cette succession de moments exaltants et « médiatiques » touchant tour à tour l’ensemble des arts atteindra sa reconnaissance à travers d’innombrables expositions et manifestations aussi bien nationales qu’internationales.
Son œuvre romanesque abondante se développera autour d’ouvrages théoriques et « pratiques » essentiels tel que le fondamental Les Journaux des Dieux, où l’œuvre prosodique nouvelle est introduite par un long manifeste, Essai sur la définition, l’évolution et le bouleversement total du roman et de la prose (1950) qui apporte un regard neuf sur l’histoire et le devenir de cet art.
Introduction à une esthétique imaginaire, de 1956, définit l’art de l’imagination et des virtualités idéatiques dont s’inspireront d’une certaine manière les expressions conceptuelles qui jalonnent les années soixante et soixante-dix. La marque toujours plus novatrice de ce visionnaire qui se dépasse sans cesse, concernera également le cinéma où son film Traité de Bave et d’éternité (1951) qui dévoile la discrépance entre le son et l’image servira de référence aux auteurs les plus progressistes de la Nouvelle vague. Dans le domaine économique, son Traité d’économie nucléaire, paru en 1949, met en évidence les véritables forces novatrices qui animent les sociétés humaines par la révélation de l’apport fondamental des couches externes et exclues de la population dont il démontre qu’elles sont seules capables d’aboutir à une « révolution créatrice permanente » pratique et spirituelle. Cet ouvrage combat un système scolaire sclérosé qui véhicule les valeurs fragmentaires et dépassées des idéologies héritées de l’humanisme idéaliste ou du marxisme pour proposer, notamment, un ensemble de réformes juventistes parmi lesquelles les plus importantes sont représentées par la nécessité d’accorder à tous les jeunes un crédit de lancement et d’instaurer la rotation systématique des hommes politique au poste de responsabilité.
Sa méthode de création permettra également à Isidore Isou d’investir notamment le champ des sciences humaines (Manifeste pour une nouvelle psychokladologie et une nouvelle psychothérapie, 1971) et des sciences exactes avec les publications de Introduction à un traité de mathématiques (1964), Introduction à la géométrie para-stigmatique (1979), ou encore, Fondements pour une nouvelle physique, suivis de Fondements pour une nouvelle chimie (1987).
Cette édification cohérente et exhaustive de ce dessein créateur trouve son apogée dans la refonte globale de la société tendant vers les valeurs inédites d’un monde « paradisiaque ».
Les Amis de la Creatique et du Lettrisme
REPONSE
Merci a Roland Sabatier de me transmettre ce texte d’Anne-Catherine Caron paru dans le catalogue de l’exposition « Collection lettriste : intime et ultime », organisée par elle-même et Roland Sabatier à la Villa Cernagliaro de Sordevolo, Italie, en avril 2007
L’auteur de La Créatique ou la Novatique, refondateur général des domaines de la Culture, des Sciences, des Techniques, de la Philosophie et de la Vie, est né en 1925 en Roumanie. Fuyant les désastres de la Seconde Guerre mondiale, il s’établit à Paris où il arrive en août 1945, porteur de notes et de textes rédigés dans son pays natal, parmi lesquels figure son ouvrage devenu mythique qui paraîtra en 1947, chez Gallimard.
Il s’agit de Introduction à une nouvelle poésie et à une nouvelle musique, dont les révélations fondamentales marqueront des générations d’artistes et dont les commissaires d’une récente manifestation consacrée à Dada et intitulée Dadada 1916-2006 auront, exactement quarante ans après les découvertes majeures de cet ouvrage, l’occasion de réaffirmer que « la recherche lettriste d’Isou exercera par la suite une influence déterminante sur les théorisations et expérimentations futures de la poésie concrète, visuelle en en anticipant les contenus mêmes. » L’Agrégation d’un nom et d’un messie qui paraîtra la même année explicite sa vision multiplicatrice de la création.
Ces premières sommes qui exposent des vues inédites sur l’art sonore et la culture acquise seront propagées grâce à plusieurs coups d’éclat retentissants, comme celui du Théâtre du Vieux Colombier où, contre Tristan Tzara, il annonce la naissance d’une révolution poétique. Il rencontre les principaux intellectuels que compte le monde littéraire de son époque et, notamment, André Breton auquel, en vain, il a tenté de s’allier. Grâce à ses écrits, sa fracassante démarche lui permet non seulement de se faire un nom, mais également par la fondation même d’un nouveau mouvement culturel, de dépasser toutes les écoles antérieures faisant encore autorité dans le panorama parisien de l’après-guerre. Au-delà du bouleversement de la poésie, Isou révolutionnera également l’ensemble des domaines artistiques, en particulier le théâtre (Fondements pour la transformation intégrale du théâtre,1952) ou le cinéma (Esthétique du cinéma, 1952), sans oublier les arts plastiques avec l’invention de l’hypergraphie (1950), de l’Art Infinitésimal (1956), de l’Art Supertemporel (1960). Mais il investira également d’autres champs fondamentaux de la connaissance, notamment l’économie politique avec son prophétique « Soulèvement de la jeunesse » qui mettra pour la première fois au premier plan l’importance de la jeunesse comme force authentiquement créatrice et révolutionnaire.
Grâce aux efforts inlassablement répétés par son fondateur et les nombreux disciples qui se succéderont, la « didacture lettriste » survivra à tous les groupes éphémères ou néo-dada promus par les musées et le marché de l’art par de toujours nouvelles explorations, découvertes et publications, ainsi que la réalisation d’une multitude d’œuvres dans les domaines les plus variés. Cette succession de moments exaltants et « médiatiques » touchant tour à tour l’ensemble des arts atteindra sa reconnaissance à travers d’innombrables expositions et manifestations aussi bien nationales qu’internationales.
Son œuvre romanesque abondante se développera autour d’ouvrages théoriques et « pratiques » essentiels tel que le fondamental Les Journaux des Dieux, où l’œuvre prosodique nouvelle est introduite par un long manifeste, Essai sur la définition, l’évolution et le bouleversement total du roman et de la prose (1950) qui apporte un regard neuf sur l’histoire et le devenir de cet art.
Introduction à une esthétique imaginaire, de 1956, définit l’art de l’imagination et des virtualités idéatiques dont s’inspireront d’une certaine manière les expressions conceptuelles qui jalonnent les années soixante et soixante-dix. La marque toujours plus novatrice de ce visionnaire qui se dépasse sans cesse, concernera également le cinéma où son film Traité de Bave et d’éternité (1951) qui dévoile la discrépance entre le son et l’image servira de référence aux auteurs les plus progressistes de la Nouvelle vague. Dans le domaine économique, son Traité d’économie nucléaire, paru en 1949, met en évidence les véritables forces novatrices qui animent les sociétés humaines par la révélation de l’apport fondamental des couches externes et exclues de la population dont il démontre qu’elles sont seules capables d’aboutir à une « révolution créatrice permanente » pratique et spirituelle. Cet ouvrage combat un système scolaire sclérosé qui véhicule les valeurs fragmentaires et dépassées des idéologies héritées de l’humanisme idéaliste ou du marxisme pour proposer, notamment, un ensemble de réformes juventistes parmi lesquelles les plus importantes sont représentées par la nécessité d’accorder à tous les jeunes un crédit de lancement et d’instaurer la rotation systématique des hommes politique au poste de responsabilité.
Sa méthode de création permettra également à Isidore Isou d’investir notamment le champ des sciences humaines (Manifeste pour une nouvelle psychokladologie et une nouvelle psychothérapie, 1971) et des sciences exactes avec les publications de Introduction à un traité de mathématiques (1964), Introduction à la géométrie para-stigmatique (1979), ou encore, Fondements pour une nouvelle physique, suivis de Fondements pour une nouvelle chimie (1987).
Cette édification cohérente et exhaustive de ce dessein créateur trouve son apogée dans la refonte globale de la société tendant vers les valeurs inédites d’un monde « paradisiaque ».
Les Amis de la Creatique et du Lettrisme
REPONSE
Merci a Roland Sabatier de me transmettre ce texte d’Anne-Catherine Caron paru dans le catalogue de l’exposition « Collection lettriste : intime et ultime », organisée par elle-même et Roland Sabatier à la Villa Cernagliaro de Sordevolo, Italie, en avril 2007
Institut Ramhal
Le Ramhal, initiales de Rabbi Moché Hayim Luzzatto (1707-1746) est sans doute l'un des maîtres les plus prolifiques et les plus innovateurs que le Judaisme ait connu. Cabaliste et logicien, talmudiste et poète, moraliste et grammairien, théologien et dramaturge – telles sont les facettes apparemment antinomiques de la personnalité exceptionnellement riche de ce géant de la Thora.
Le Ramhal est le plus grand sage de la Cabale, dont il a pensé la véritable dimension de la Cabale en termes rationnels. Il est aussi l'auteur qui a clairement défini les fondements authentiques de la Foi Juive (Derekh Hachem - La voie de D.ieu).
Il naît en 1707 dans le guetto de Padoue (Italie), qu'il ne quittera qu'en 1735. La virulence des calomnies et les violentes attaques contre ses écrits l'obligeront alors à quitter sa ville natale pour Amsterdam. Dès leur publication en effet, les écrits de Ramhal soulèvent une polémique sans merci. Ils sont bientôt attaqués avec une violence inouïe par les Rabbins de Venise, puis par ceux de Francfort lors du passage du Maître dans cette ville en 1735. En réalité, la raison de cette grande controverse ne réside pas dans la propagation de la Cabale par un jeune homme qui irrite les maîtres de son époque, mais dans l'idée du messianisme qui émane de l'oeuvre Ramhalienne. En effet, le Ramhal a eu la révélation d'un Maguid – un narrateur céleste qui lui dicte le Zohar Tin'yana ou 'Second Zohar'. A l'instar de Rabbi Chimon Bar Yohaï – le maître du Zohar, le Ramhal s'impose dès l'âge de vingt ans dans le canon Thoranique. Pourtant, en 1730, sous la pression des maîtres de sa génération hantés par la crainte du "faux messie", le Ramhal accepte de signer un 'aveu', sur le conseil de son maître. Cet aveu stipule l'interdiction d'écrire sous la forme du Zohar. La signature de l'aveu n'apaise pas les détracteurs du Ramhal, et les attaques se poursuivent sans répit, jusqu'au début de l'année 1735 où le maître est contraint de quitter l’Italie pour Amsterdam. Il fait une escale dans le Beth Midrash de Rabbi Yaacov Papirach, à Francfort. Il espère que dans cette ville d'érudits, il pourra s'employer à dissiper les malentendus dont il est victime. Mais il est menacé de Herem – anathème, s'il ne signe pas un aveu qui cette fois stipule l'interdiction d'enseigner, d'étudier ou d'écrire sur la Cabale jusqu' à l'âge de quarante ans.
Après avoir signé, le Ramhal se rend à Amsterdam. Dans cette ville il peut enfin retrouver une vie plus sereine et il, compose des œuvres ayant trait, non pas à la Cabale mais à l'éthique et à la foi. En 1740, il publie un livre : le traité de Moussar (morale juive) le plus remarquable qui ait jamais été écrit : Messilat Yecharim - La Voie Des Justes. Toutes les communautés de la Diaspora adoptent l'ouvrage sans hésiter, et il devient ainsi le traité fondamental de la morale juive. Pourtant, Messilat Yécharim est plus qu'un livre de morale. Le Ramhal y enseigne la voie de la perfection qui conduit jusqu'au but ultime: la prophétie. Il y montre la voie de la piété authentique, tant recherchée par les véritables maîtres de la Thora qui aspirent à l' union avec D.ieu.
A Amsterdam où il vit jusqu'en 1743, le Ramhal publie une dizaine de livres dont le fameux Derekh Hachem - La Voie de D.ieu, véritable somme de la Foi Juive.
En 1743, le Ramhal quitte Amsterdam pour se rendre en Erets Israël, à Acco (Acre). Trois ans plus tard, en 1746, le 26 Iyar, alors qu'il n'est âgé que de 39 ans, il est atteint par une épidémie, et, quitte ce monde pour rejoindre les saints d'Israël. Il est enterré à Tibériade, à côté de Rabbi Akiva.
La vie du Ramhal est exceptionnelle – sa fin tragique..Quant à ses écrits, ils sont sublimes. Au-delà des péripéties et des bouleversements de son histoire, on perçoit la profonde unité de sa personnalité et de son œuvre.
Au-delà de la symbolique et du rationnel, il y a quelque chose dans l'œuvre Ramhalienne de l'ordre du Conscient, il s'agit de l'Essence ou de la découverte de D.ieu - l'Unique Existence.
L'œuvre du Ramhal inaugure l'ère messianique qui libère les hommes du dualisme et les conduit vers l'Unité ultime.
La quasi-totalité de cette œuvre est consacrée à la connaissance de la Hanhaga – Direction divine du monde et à son but ultime: Guilouy Yihoudo - la Révélation de l'Unité.
L'œuvre du Ramhal
"L'œuvre du Ramhal inaugure l'ère messianique qui libère les hommes du dualisme et les conduit vers l'Unité ultime."
L'œuvre entière de ce grand maître, dont on découvre aujourd'hui l'importance et l'actualité, se révèle essentielle, je dirais fondamentale pour notre génération.
La Thora du Ramhal consiste à comprendre la Hanhaga ou la Direction divine du monde. Seule cette compréhension permet à l'homme de saisir le sens de l'histoire et son aboutissement : le Guilouy Yihoudo ou la Révélation de l'Unité. Au-delà des dichotomies et de la confrontation entre le religieux et le social, le politique et le moral, l'universel et le particulier, le rationnel et le mystique, le Ramhal nous invite à emprunter la voie de l'Unité où tout fusionne.
Le dualisme, qui admet deux principes premiers irréductibles, trouve son origine dans la faute d'Adam. Dans Daat Tevounot, Le Ramhal enseigne que "l'arbre de la connaissance" désigne la voie de l'esprit humain : incapable de saisir l'Unité, il cherche la dualité entre le bien et le mal, comprenant alors dès lors une chose par son contraire, la lumière par les ténèbres, la vie par la mort etc. - c'est la connaissance empirique. Adam a engagé l'humanité dans l'expérimental. Moché Rabbénou, avec la révélation sinaïtique conduira le peuple à la foi de l'Unité; en revanche la faute du veau d'or le ramène au dualisme, au raisonnement 'a priori' et 'a posteriori', "cause et effet". Le Talmud fera quant à lui cette réparation de l’esprit.
Cependant le Zohar d'abord, puis le Arizal vont révéler la voie droite - Orah Méchar, c'est-à-dire la voie de Ets Hayim ou la voie de l' Unité. Certes, le langage cabalistique reste hermétique pour qui ne possède pas les clefs de la symbolique. Le Ramhal nous propose ces clefs qui ouvrent l'allégorie donne au lecteur les clés de l'allégorie. Dans l'oeuvre Ramhalienne, il trouvera un discours métaphysique rendu accessible à l'entendement. Désormais avec le Ramhal le caché devient révélé, la Voie de D.ieu n'est plus scellée, on la découvre sans difficulté, sans métaphores ni allégorie. La réalité cachée est devenue signifiante.
Dans le 69ième Tikoun (Les soixante-dix Tikounim) il est précisé que grâce à la nouvelle révélation du Second Zohar du Ramhal, la réalité (Malkhout - origine de toute existence) a atteint son apothéose - l'idéalité ou le Keter. Le mal ontologique est absorbé complètement par la révélation de la connaissance suprême de l’Unité. La connaissance de la Voie de l'Unité a émergé de cet esprit exceptionnel.
En somme le Ramhal nous explique que 'D.ieu' n'exprime pas seulement le Créateur qui prodigue l'existence de tout, mais aussi 'La Volonté' ; 'La Volonté' unique dans toute l'histoire ! Il est le Maitre souverain de toutes les créatures et de tous leurs actes, même s'Il leur a octroyé une liberté limitée. Cette liberté s'affirme apparemment par l'autonomie de la pensée, mais en vérité toute pensée est fondée sur la volonté divine, car toutes les pensées s'inscrivent a priori dans le projet divin. La véritable liberté n'appartient qu’à D.ieu, Il est le seul Etre nécessaire et donc autonome. Quant à l’homme, sa liberté consiste à connaître D.ieu et à accomplir Ses commandements, toute autre liberté n'est qu'illusion et tromperie des sens.
Institut Ramhal
Rav Mordékhaï Chriqui
Jerusalem - Israel
Le Ramhal est le plus grand sage de la Cabale, dont il a pensé la véritable dimension de la Cabale en termes rationnels. Il est aussi l'auteur qui a clairement défini les fondements authentiques de la Foi Juive (Derekh Hachem - La voie de D.ieu).
Il naît en 1707 dans le guetto de Padoue (Italie), qu'il ne quittera qu'en 1735. La virulence des calomnies et les violentes attaques contre ses écrits l'obligeront alors à quitter sa ville natale pour Amsterdam. Dès leur publication en effet, les écrits de Ramhal soulèvent une polémique sans merci. Ils sont bientôt attaqués avec une violence inouïe par les Rabbins de Venise, puis par ceux de Francfort lors du passage du Maître dans cette ville en 1735. En réalité, la raison de cette grande controverse ne réside pas dans la propagation de la Cabale par un jeune homme qui irrite les maîtres de son époque, mais dans l'idée du messianisme qui émane de l'oeuvre Ramhalienne. En effet, le Ramhal a eu la révélation d'un Maguid – un narrateur céleste qui lui dicte le Zohar Tin'yana ou 'Second Zohar'. A l'instar de Rabbi Chimon Bar Yohaï – le maître du Zohar, le Ramhal s'impose dès l'âge de vingt ans dans le canon Thoranique. Pourtant, en 1730, sous la pression des maîtres de sa génération hantés par la crainte du "faux messie", le Ramhal accepte de signer un 'aveu', sur le conseil de son maître. Cet aveu stipule l'interdiction d'écrire sous la forme du Zohar. La signature de l'aveu n'apaise pas les détracteurs du Ramhal, et les attaques se poursuivent sans répit, jusqu'au début de l'année 1735 où le maître est contraint de quitter l’Italie pour Amsterdam. Il fait une escale dans le Beth Midrash de Rabbi Yaacov Papirach, à Francfort. Il espère que dans cette ville d'érudits, il pourra s'employer à dissiper les malentendus dont il est victime. Mais il est menacé de Herem – anathème, s'il ne signe pas un aveu qui cette fois stipule l'interdiction d'enseigner, d'étudier ou d'écrire sur la Cabale jusqu' à l'âge de quarante ans.
Après avoir signé, le Ramhal se rend à Amsterdam. Dans cette ville il peut enfin retrouver une vie plus sereine et il, compose des œuvres ayant trait, non pas à la Cabale mais à l'éthique et à la foi. En 1740, il publie un livre : le traité de Moussar (morale juive) le plus remarquable qui ait jamais été écrit : Messilat Yecharim - La Voie Des Justes. Toutes les communautés de la Diaspora adoptent l'ouvrage sans hésiter, et il devient ainsi le traité fondamental de la morale juive. Pourtant, Messilat Yécharim est plus qu'un livre de morale. Le Ramhal y enseigne la voie de la perfection qui conduit jusqu'au but ultime: la prophétie. Il y montre la voie de la piété authentique, tant recherchée par les véritables maîtres de la Thora qui aspirent à l' union avec D.ieu.
A Amsterdam où il vit jusqu'en 1743, le Ramhal publie une dizaine de livres dont le fameux Derekh Hachem - La Voie de D.ieu, véritable somme de la Foi Juive.
En 1743, le Ramhal quitte Amsterdam pour se rendre en Erets Israël, à Acco (Acre). Trois ans plus tard, en 1746, le 26 Iyar, alors qu'il n'est âgé que de 39 ans, il est atteint par une épidémie, et, quitte ce monde pour rejoindre les saints d'Israël. Il est enterré à Tibériade, à côté de Rabbi Akiva.
La vie du Ramhal est exceptionnelle – sa fin tragique..Quant à ses écrits, ils sont sublimes. Au-delà des péripéties et des bouleversements de son histoire, on perçoit la profonde unité de sa personnalité et de son œuvre.
Au-delà de la symbolique et du rationnel, il y a quelque chose dans l'œuvre Ramhalienne de l'ordre du Conscient, il s'agit de l'Essence ou de la découverte de D.ieu - l'Unique Existence.
L'œuvre du Ramhal inaugure l'ère messianique qui libère les hommes du dualisme et les conduit vers l'Unité ultime.
La quasi-totalité de cette œuvre est consacrée à la connaissance de la Hanhaga – Direction divine du monde et à son but ultime: Guilouy Yihoudo - la Révélation de l'Unité.
L'œuvre du Ramhal
"L'œuvre du Ramhal inaugure l'ère messianique qui libère les hommes du dualisme et les conduit vers l'Unité ultime."
L'œuvre entière de ce grand maître, dont on découvre aujourd'hui l'importance et l'actualité, se révèle essentielle, je dirais fondamentale pour notre génération.
La Thora du Ramhal consiste à comprendre la Hanhaga ou la Direction divine du monde. Seule cette compréhension permet à l'homme de saisir le sens de l'histoire et son aboutissement : le Guilouy Yihoudo ou la Révélation de l'Unité. Au-delà des dichotomies et de la confrontation entre le religieux et le social, le politique et le moral, l'universel et le particulier, le rationnel et le mystique, le Ramhal nous invite à emprunter la voie de l'Unité où tout fusionne.
Le dualisme, qui admet deux principes premiers irréductibles, trouve son origine dans la faute d'Adam. Dans Daat Tevounot, Le Ramhal enseigne que "l'arbre de la connaissance" désigne la voie de l'esprit humain : incapable de saisir l'Unité, il cherche la dualité entre le bien et le mal, comprenant alors dès lors une chose par son contraire, la lumière par les ténèbres, la vie par la mort etc. - c'est la connaissance empirique. Adam a engagé l'humanité dans l'expérimental. Moché Rabbénou, avec la révélation sinaïtique conduira le peuple à la foi de l'Unité; en revanche la faute du veau d'or le ramène au dualisme, au raisonnement 'a priori' et 'a posteriori', "cause et effet". Le Talmud fera quant à lui cette réparation de l’esprit.
Cependant le Zohar d'abord, puis le Arizal vont révéler la voie droite - Orah Méchar, c'est-à-dire la voie de Ets Hayim ou la voie de l' Unité. Certes, le langage cabalistique reste hermétique pour qui ne possède pas les clefs de la symbolique. Le Ramhal nous propose ces clefs qui ouvrent l'allégorie donne au lecteur les clés de l'allégorie. Dans l'oeuvre Ramhalienne, il trouvera un discours métaphysique rendu accessible à l'entendement. Désormais avec le Ramhal le caché devient révélé, la Voie de D.ieu n'est plus scellée, on la découvre sans difficulté, sans métaphores ni allégorie. La réalité cachée est devenue signifiante.
Dans le 69ième Tikoun (Les soixante-dix Tikounim) il est précisé que grâce à la nouvelle révélation du Second Zohar du Ramhal, la réalité (Malkhout - origine de toute existence) a atteint son apothéose - l'idéalité ou le Keter. Le mal ontologique est absorbé complètement par la révélation de la connaissance suprême de l’Unité. La connaissance de la Voie de l'Unité a émergé de cet esprit exceptionnel.
En somme le Ramhal nous explique que 'D.ieu' n'exprime pas seulement le Créateur qui prodigue l'existence de tout, mais aussi 'La Volonté' ; 'La Volonté' unique dans toute l'histoire ! Il est le Maitre souverain de toutes les créatures et de tous leurs actes, même s'Il leur a octroyé une liberté limitée. Cette liberté s'affirme apparemment par l'autonomie de la pensée, mais en vérité toute pensée est fondée sur la volonté divine, car toutes les pensées s'inscrivent a priori dans le projet divin. La véritable liberté n'appartient qu’à D.ieu, Il est le seul Etre nécessaire et donc autonome. Quant à l’homme, sa liberté consiste à connaître D.ieu et à accomplir Ses commandements, toute autre liberté n'est qu'illusion et tromperie des sens.
Institut Ramhal
Rav Mordékhaï Chriqui
Jerusalem - Israel
ZYG AND MEA
Par Marguerita
New York - USA
About Zyg and Mea
By Marguerita
In 1999,after many years of my research ,I found on the Internet a volunteer for the Auschwitz.Museum,where my mother was a prisoner when it was a concentration camp. .His name was S tefan Swiszzowski. a computer science professor in Krakow.
I asked him to locate the building my mother owned on Lazarza Bozna,which I never was able to find the street ,as I later learned ,since the street had a changed of name after war by the Communists.
We had long exchange of messages.Stefan found the building and went there to investigate the facts,I knew through my mother’s stories.He found the widow of the janitor still living there and she remembered quite well my mother .She told him how my mother would come to her with clothes for the janitor’s son, from the ghetto in Podgorze,where my mother was forced to live after being forced out by the Gestapo from her home.
She also told Stefan,that the Lauers,my mother and her first husband did not have children and according to her I did not exist!
She confirmed quite a number of details that matched what I knew.According to Stefan,she refused a second visit when he was supposed to record their talk.Stefan,now tells me that he himself could not pursue any further,as “ the Germans not only killed all Jews of Krakow,but also destroyed all documents and archives”.
That turned out t be a great lie.
Undeterred I continued myself and got in contact with the Krakow Archives on Ulica Sienna, where I was able to find documentation relating to the building and my mother’s ownership.
Once more ,through the Internet I met a former krakowian,living in New York who was also trying to retrieve his families property and he gave me the name of his lawyer.
In 2004,I went to Krakow,my first trip to Poland,went to Court and researched my mother’s history in the Archives of Krakow,where I found 17 documents and to Auschwitz ,meeting Teresa Swiebocka the curator who helped me to get the information about my mother’s arrival there on 22.10.44 KL Plaszow
,brought from Limanowskiego 48-M5. Fleischer/Lauer/Tennenbaum/Seltzer-Maria/ Mea/Salomea – A-26.427.
The day of my visit was 21.07.2004.
I had to pay for a parking ticket in Auschwitz.
It was on this trip,on my first day in Krakow,as I come into the Hotel Copernicus,I noticed an English-Polish magazine called Krakout.
Within hours we were sharing a drink with the publisher and I got my assignment.
Zyg and Mea are the embodiment of my family,vis a vis the History of Poland and its Jews,with the images influenced by my mother’s memories and actually seeing the streets where she walked.At the Wawel castle,where she was brought as a janitorial slave, and where my mother saw Hans Frank I saw a small painting.
Zyg was created, after this painting of Zygmunt,which caught my eye and Mea,of course was my mother.
Rosh Hashana in Jerusalem
How We Do It Here ,
Signs of Rosh Hashana in Jerusalem: In the run up to the beginning of this Jewish New Year, piles of branches lay strewn all over the streets of Jerusalem-city workers are zealously pruning trees and bushes in advance of Rosh Hashana when the laws of Shmittah take effect.
Without getting into an arcane description of the Shmittah laws that is way beyond the scope of Jerusalem Diaries, suffice it to say that observance of the Shmittah year is confined to Jews living in or visiting Israel, and is one of the very tangible ways that life for Israelis and Diaspora Jews diverges, at least once every seven years.
Every seven years, the Torah tells us, the land must rest and we are prohibited from working the land-that means, according to the rabbinic sages, no plowing, sewing, pruning, harvesting or fruit picking. In fact, the produce that grows this year has the status of kedushah-holiness, and must be handled in a respectful manner. Home gardens too, even including the planter boxes on my balcony, must be allowed to rest, so my geraniums have just had their last cut-back for a year.
Despite the pressure of pre-Rosh Hashanah preparations, a capacity crowd showed up a few days ago to listen to an hour-long presentation in English on the Shmittah laws by the entertaining and erudite Rabbi David Marcus. Sponsored by the Council of Young Israel Rabbis in Israel, the talk expanded on an informative 32-page booklet penned by Rabbi Marcus that outlines how to shop, garden and eat out halachically during the coming Jewish year.
The other unusual feature of this coming Rosh Hashana is the added day tacked on by Shabbat falling right after the 2-day festival. While observant Jews in the Diaspora are accustomed to 3-day yomtovs that occur every once in a while, we Israelis who observe only one day at the beginning and end of most festivals (reason enough to make aliya) find the whole thing a little challenging.
Anyone venturing into the shuk or even a local supermarket this week could be forgiven for thinking that a famine was imminent. Shoppers laden with huge nylon bags of every kind of produce, fish, meat and bread, may be seen staggering under the weight of their purchases, secure in the knowledge that they have sufficient provisions for three days when stores are closed .
Certain foods are traditional to eat on Rosh Hashana, and the markets are full of the most beautiful pomegranates; succulent dates and crisp apples. All the produce is local-pomegranate trees grow everywhere, even in private gardens; dates are from the Jordan Valley and apples from the Golan.
For some, the three-day Jerusalem shutdown of entertainment and shopping is a little much. One of my more secular neighbors informed me she's running off to a hotel in Tel Aviv for the duration. Tel Aviv's beaches are generally packed on every holyday.
Other secular Israelis, however, are intrigued by the pre-Rosh Hashana traditions, and join 3 a.m. tours of the Selichot services at Jerusalem synagogues in the old neighborhoods. It's mostly the Sephardic congregations that host the melodic recitation of penitential prayers in the month before Yom Kippur.
Newspaper polls report that only 47 percent of Israelis plan on attending synagogue services to pray during Rosh Hashana, but hotels all over the country report 95 percent occupancy rates.
A uniquely Israeli tradition is the “haramat cosit” -literally, lifting of the glass, in honor of the New Year. Government ministries, corporations and municipal offices all host toasts where wine and good cheer flow. The fleet of diplomatic vehicles double-parked outside the official presidential residence yesterday was an indication that President Shimon Peres was hosting the diplomatic corps for the traditional New Year bash.
No doubt, the foreign emissaries were discussing the tensions of the day, which included the attack on an Israeli army base that wounded 69 soldiers and Israel's alleged stealth strike into Syrian territory last week.
But for the long-suffering residents of Sderot and the communities of the western Negev, the days leading up to Rosh Hashana just bring more of the same-an unceasing barrage of Kassam attacks and a devastating sense of helplessness as politicians debate how to react to the latest escalation.
And just in case we were lacking for entertainment here in the Holy Land, rumors have it that Madonna and an entourage of slightly lesser known performers will be arriving to spend her second Rosh Hashana in Tel Aviv. The tabloids report that the blond Kabbalist wannabe plans to cast her sins into the Mediterranean Sea again this year.
So as we sign off for a few days of introspection and stocktaking, we wish Jerusalem Diaries readers and their families a year of health, fulfillment and success.
By Judy Lash Balint
jerusalemdiaries
Jerusalem - Israel
Signs of Rosh Hashana in Jerusalem: In the run up to the beginning of this Jewish New Year, piles of branches lay strewn all over the streets of Jerusalem-city workers are zealously pruning trees and bushes in advance of Rosh Hashana when the laws of Shmittah take effect.
Without getting into an arcane description of the Shmittah laws that is way beyond the scope of Jerusalem Diaries, suffice it to say that observance of the Shmittah year is confined to Jews living in or visiting Israel, and is one of the very tangible ways that life for Israelis and Diaspora Jews diverges, at least once every seven years.
Every seven years, the Torah tells us, the land must rest and we are prohibited from working the land-that means, according to the rabbinic sages, no plowing, sewing, pruning, harvesting or fruit picking. In fact, the produce that grows this year has the status of kedushah-holiness, and must be handled in a respectful manner. Home gardens too, even including the planter boxes on my balcony, must be allowed to rest, so my geraniums have just had their last cut-back for a year.
Despite the pressure of pre-Rosh Hashanah preparations, a capacity crowd showed up a few days ago to listen to an hour-long presentation in English on the Shmittah laws by the entertaining and erudite Rabbi David Marcus. Sponsored by the Council of Young Israel Rabbis in Israel, the talk expanded on an informative 32-page booklet penned by Rabbi Marcus that outlines how to shop, garden and eat out halachically during the coming Jewish year.
The other unusual feature of this coming Rosh Hashana is the added day tacked on by Shabbat falling right after the 2-day festival. While observant Jews in the Diaspora are accustomed to 3-day yomtovs that occur every once in a while, we Israelis who observe only one day at the beginning and end of most festivals (reason enough to make aliya) find the whole thing a little challenging.
Anyone venturing into the shuk or even a local supermarket this week could be forgiven for thinking that a famine was imminent. Shoppers laden with huge nylon bags of every kind of produce, fish, meat and bread, may be seen staggering under the weight of their purchases, secure in the knowledge that they have sufficient provisions for three days when stores are closed .
Certain foods are traditional to eat on Rosh Hashana, and the markets are full of the most beautiful pomegranates; succulent dates and crisp apples. All the produce is local-pomegranate trees grow everywhere, even in private gardens; dates are from the Jordan Valley and apples from the Golan.
For some, the three-day Jerusalem shutdown of entertainment and shopping is a little much. One of my more secular neighbors informed me she's running off to a hotel in Tel Aviv for the duration. Tel Aviv's beaches are generally packed on every holyday.
Other secular Israelis, however, are intrigued by the pre-Rosh Hashana traditions, and join 3 a.m. tours of the Selichot services at Jerusalem synagogues in the old neighborhoods. It's mostly the Sephardic congregations that host the melodic recitation of penitential prayers in the month before Yom Kippur.
Newspaper polls report that only 47 percent of Israelis plan on attending synagogue services to pray during Rosh Hashana, but hotels all over the country report 95 percent occupancy rates.
A uniquely Israeli tradition is the “haramat cosit” -literally, lifting of the glass, in honor of the New Year. Government ministries, corporations and municipal offices all host toasts where wine and good cheer flow. The fleet of diplomatic vehicles double-parked outside the official presidential residence yesterday was an indication that President Shimon Peres was hosting the diplomatic corps for the traditional New Year bash.
No doubt, the foreign emissaries were discussing the tensions of the day, which included the attack on an Israeli army base that wounded 69 soldiers and Israel's alleged stealth strike into Syrian territory last week.
But for the long-suffering residents of Sderot and the communities of the western Negev, the days leading up to Rosh Hashana just bring more of the same-an unceasing barrage of Kassam attacks and a devastating sense of helplessness as politicians debate how to react to the latest escalation.
And just in case we were lacking for entertainment here in the Holy Land, rumors have it that Madonna and an entourage of slightly lesser known performers will be arriving to spend her second Rosh Hashana in Tel Aviv. The tabloids report that the blond Kabbalist wannabe plans to cast her sins into the Mediterranean Sea again this year.
So as we sign off for a few days of introspection and stocktaking, we wish Jerusalem Diaries readers and their families a year of health, fulfillment and success.
By Judy Lash Balint
jerusalemdiaries
Jerusalem - Israel
The Western Wall Heritage Foundation
Bs"d
Erev Rosh Hashana, 5768
This greeting for a good year is being lovingly sent to you from the heights of the holy city of Jerusalem and from the Western Wall – the remnant of our Temple.
May this year coming upon us be one of joy for our country and merriment for our cities; let there be peace in our precincts, serenity within our palaces. There ends a year and its maledictions and a new one begins with its blessings.
We are all equal when standing in front of the Western Wall where every Jew senses his Judaism – often for the first time, without knowing why. Here, we all connect to our chain of generations.
Especially during the High Holidays, we must emphasize that which unites and connects us to each other; not that which separates us. The perfect place for this is here, in front of the Kotel. Everything is written on these stones. Everything we’ve absorbed and collected over the years is etched in these holy stones that have human hearts.
This year, we marked forty years since the reunification of Jerusalem, the city that joins everyone together. We have again been given the privilege of clinging to the stones of the Western Wall, as it says in Psalms 102: "For your servants take pleasure in her stones and love her dust".
The Western Wall Heritage Foundation aspires to bring every Jewish boy and girl from Israel and around the world for a visit to the Western Wall to connect to the chain of generations. Excavation work reveals stones along with roots. At the foot of the Western Wall, more than at any other place, the past memories of the Jewish nation mingle with our hopes for the future.
Our prayer: May we be remembered and inscribed in the book of life, blessing, peace and good sustenance, we and all the House of Israel, for a good life and for peace.
With wishes of Ktiva VeChatima Tova,
Shmuel Rabinowitz
Rabbi of the Western Wall and Holy Sites
Jerusalem - Israel
Erev Rosh Hashana, 5768
This greeting for a good year is being lovingly sent to you from the heights of the holy city of Jerusalem and from the Western Wall – the remnant of our Temple.
May this year coming upon us be one of joy for our country and merriment for our cities; let there be peace in our precincts, serenity within our palaces. There ends a year and its maledictions and a new one begins with its blessings.
We are all equal when standing in front of the Western Wall where every Jew senses his Judaism – often for the first time, without knowing why. Here, we all connect to our chain of generations.
Especially during the High Holidays, we must emphasize that which unites and connects us to each other; not that which separates us. The perfect place for this is here, in front of the Kotel. Everything is written on these stones. Everything we’ve absorbed and collected over the years is etched in these holy stones that have human hearts.
This year, we marked forty years since the reunification of Jerusalem, the city that joins everyone together. We have again been given the privilege of clinging to the stones of the Western Wall, as it says in Psalms 102: "For your servants take pleasure in her stones and love her dust".
The Western Wall Heritage Foundation aspires to bring every Jewish boy and girl from Israel and around the world for a visit to the Western Wall to connect to the chain of generations. Excavation work reveals stones along with roots. At the foot of the Western Wall, more than at any other place, the past memories of the Jewish nation mingle with our hopes for the future.
Our prayer: May we be remembered and inscribed in the book of life, blessing, peace and good sustenance, we and all the House of Israel, for a good life and for peace.
With wishes of Ktiva VeChatima Tova,
Shmuel Rabinowitz
Rabbi of the Western Wall and Holy Sites
Jerusalem - Israel
Antisémitisme - Belgique
Depuis l’année 2001, le site internet « www.antisemitisme.be répertori les actes hostiles commis à l’encontre la Communauté juive de Belgique.
Ce site internet est géré par une équipe qui, durant toute l'année, récolte les plaintes déposées et les communique aux autorités compétentes pour qu'un suivi efficace y soit réservé.
Ce travail est réalisé avec sérieux et rigueur. C’est en ce sens que chaque déposition qui nous parvient est vérifiée avant d’être publiée sur notre site.
Seulement, le recensement et la répression des incidents antisémites ne peuvent effectivement être réalisés qu’avec votre collaboration.
En effet, de nombreux actes passent encore trop souvent sous silence, les victimes ne pensant pas nécessaire de porter plainte ou ne connaissant pas l’existence d’institutions dont l’objectif est de recenser leurs cas et de les soutenir dans leurs démarches auprès des autorités compétentes.
La Belgique s’est dotée d’une législation pénale spécifique aux actes inspirés d’antisémitisme ou de négationnisme. Il s’agit de la :
- Loi du 30 juillet 1981 tendant à réprimer certains actes inspirés par le racisme ou la xénophobie,
- et de la Loi du 23 mars 1995, tendant à réprimer la négation, la minimisation, la justification ou l’approbation du génocide commis par le régime national-socialiste allemand pendant la seconde guerre mondiale.
Ces instruments mis sur pied, il est important que les victimes et témoins d’actes antisémites les dénoncent et portent plainte auprès de la police afin :
1. de ne pas laisser impunis de tels méfaits ;
2. d’obtenir réparation aux dommages subis ;
3. d’évaluer l’ampleur du phénomène de l’antisémitisme et pousser nos dirigeants communautaires et politiques à prendre toutes les mesures préventives et répressives :
> de protéger les victimes, membres de la Communauté juive de Belgique ;
> de poursuivre de manière systématique les auteurs d’actes antisémites et négationnistes.
Pour plus de détails sur notre travail, nous vous invitons à visiter notre site
NE PLUS SE TAIRE, C'EST DEJA AGIR ET NOUS AIDER A LUTTER
L'équipe de www.antisemitisme.be
Belgique
Ce site internet est géré par une équipe qui, durant toute l'année, récolte les plaintes déposées et les communique aux autorités compétentes pour qu'un suivi efficace y soit réservé.
Ce travail est réalisé avec sérieux et rigueur. C’est en ce sens que chaque déposition qui nous parvient est vérifiée avant d’être publiée sur notre site.
Seulement, le recensement et la répression des incidents antisémites ne peuvent effectivement être réalisés qu’avec votre collaboration.
En effet, de nombreux actes passent encore trop souvent sous silence, les victimes ne pensant pas nécessaire de porter plainte ou ne connaissant pas l’existence d’institutions dont l’objectif est de recenser leurs cas et de les soutenir dans leurs démarches auprès des autorités compétentes.
La Belgique s’est dotée d’une législation pénale spécifique aux actes inspirés d’antisémitisme ou de négationnisme. Il s’agit de la :
- Loi du 30 juillet 1981 tendant à réprimer certains actes inspirés par le racisme ou la xénophobie,
- et de la Loi du 23 mars 1995, tendant à réprimer la négation, la minimisation, la justification ou l’approbation du génocide commis par le régime national-socialiste allemand pendant la seconde guerre mondiale.
Ces instruments mis sur pied, il est important que les victimes et témoins d’actes antisémites les dénoncent et portent plainte auprès de la police afin :
1. de ne pas laisser impunis de tels méfaits ;
2. d’obtenir réparation aux dommages subis ;
3. d’évaluer l’ampleur du phénomène de l’antisémitisme et pousser nos dirigeants communautaires et politiques à prendre toutes les mesures préventives et répressives :
> de protéger les victimes, membres de la Communauté juive de Belgique ;
> de poursuivre de manière systématique les auteurs d’actes antisémites et négationnistes.
Pour plus de détails sur notre travail, nous vous invitons à visiter notre site
NE PLUS SE TAIRE, C'EST DEJA AGIR ET NOUS AIDER A LUTTER
L'équipe de www.antisemitisme.be
Belgique
The Amazing Shiksa
Par Marguerita
New York - USA
REPONSE
Je remercie Marguerita de m'envoyer cette petite BD pour illustrer la Shiksa !
A bientot
Marcel
Shiksa: mot en yiddish
7 lois pour l'Humanité
Une petite Url sur le web, un grand site pour l’humanité
Depuis la rébellion de Babel contre D.ieu - épisode biblique qui inaugura le premier grand schisme politique et socioculturel de l’humanité - l’histoire universelle montre que les hommes ont souvent justifié les révolutions (et leurs abus) qu’ils avaient mis sur pied, par l’espoir d’un avenir meilleur, plus juste, plus humain. Mais avaient-ils choisi le bon chemin et les bonnes entrées dans l’histoire ? Que de mouvements, de péripéties et d’attentes pour que finalement le monde demeure égal à lui-même. « Rien de nouveau sous le soleil », écrira le Roi Salomon. A l’évidence, l’histoire de l’humanité n’est que variations de modes de pensée, affaires humaines, renversements de mœurs, découvertes scientifiques et performances artistiques. Il semblerait même que ce monde ne soit ni plus ni moins qu’un grand corps potentiellement éternel, où construire et détruire, où ordre et désordre ne soient que des usages universels d’une humanité faite d’instincts et de pragmatismes. Ainsi est faite la vie des hommes, d’apogées et de déclins. Des ordres nouveaux déracinent les principes qui étaient jusqu’alors des certitudes, et reconduisent les peuples et les civilisations vers un monde inédit, pour le meilleur et pour le pire. Et à l’évidence, le déclin des uns signifiait généralement un monde meilleur pour d’autres, assurés que la justice et le bonheur public étaient sur le bon chemin.
Cependant, bien qu’au regard de l’histoire les projets aient affichés leurs limites et que les désillusions soient perceptibles, on peut toutefois se réjouir et constater que les hommes sont toujours et éternellement sensibles à l’idée qu’un avenir meilleur existe. Pour cela, il est temps que l’Homme, « créé à l’image de D.ieu », comme il est dit dans la Bible, cesse de livrer une guerre à ses facultés intellectuelles et spirituelles et institue la paix avec D.ieu. Des milliers d’hommes et de femmes d’horizons différents adhèrent déjà à cette vérité immuable qui permettrait à l’homme de s’orienter dans un monde sans cesse changeant : l’idée que D.ieu est immanent et transcendant, au-delà de notre entendement intellectuel. C’est surement cela le défit du XXIème siècle : avoir conscience de cette transcendance, alors même que nous vivons dans un monde imparfait qui renait perpétuellement de ses cendres, où l’homme paraît s’accommoder de victoires à la Pyrrhus, et où s’opposent divergences d’intérêts entre pouvoir et liberté. Mais en contrepartie, deux notions inéluctables s’imposent afin de mériter le statut d’Homme : accepter la Royauté divine et bannir le doute.
C’est sous l’égide de l’institut de Recherche Francophone d’Histoire Juive, pour ouvrir le chemin qui conduira au caractère universel du monde, et conformément au message biblique, qu’est né le site Internet www.7loispourlhumanite.org. Celui-ci s’adresse à tous les citoyens du monde sans distinction d’origine, et explore un sujet peu connu du grand public français : celui des sept lois de Noé que l’humanité se doit de respecter. Ce site introduit et stimule la réflexion autour d’un thème métaphysique du Judaïsme : « Qu’en est-il du monde futur et quelle part y avons-nous ? » Ce site est également une invite à l’éternité en tant qu’être spirituel, créé à l’image de D.ieu. Bien évidemment, un tel sujet demande une largesse de vue, et d’autres articles sont en cours de rédaction, ainsi qu’un blog (en plusieurs langues) pour répondre aux questions des internautes.
A ce jour, bien qu’il existe de nombreux messages de sympathies d’hommes politiques à l’égard des 7 lois Noahides qu’il convient d’appeler la Charte des Nations, seuls les États-Unis ont jugé bon d’inclure dans leur Constitution une Journée de l’Éducation et de Réflexion sur ce thème. Alors, à quand une Journée de Réflexion au Sénat français ou un amendement ? En attendant, quelques soient votre nationalité et vos croyances, rendez-vous sur ce site pour accéder à la connaissance…et au véritable monde futur. 7loispourlhumanité.org est assurément une petite Url sur le Web et un grand site pour l’humanité. Alors à bientôt….dans l’ère messianique.
Meyer Tangi
7loispourlhumanite
Pour l’intelligence de son histoire… avec l’aide de D.ieu.
Hebraica.info
Depuis la rébellion de Babel contre D.ieu - épisode biblique qui inaugura le premier grand schisme politique et socioculturel de l’humanité - l’histoire universelle montre que les hommes ont souvent justifié les révolutions (et leurs abus) qu’ils avaient mis sur pied, par l’espoir d’un avenir meilleur, plus juste, plus humain. Mais avaient-ils choisi le bon chemin et les bonnes entrées dans l’histoire ? Que de mouvements, de péripéties et d’attentes pour que finalement le monde demeure égal à lui-même. « Rien de nouveau sous le soleil », écrira le Roi Salomon. A l’évidence, l’histoire de l’humanité n’est que variations de modes de pensée, affaires humaines, renversements de mœurs, découvertes scientifiques et performances artistiques. Il semblerait même que ce monde ne soit ni plus ni moins qu’un grand corps potentiellement éternel, où construire et détruire, où ordre et désordre ne soient que des usages universels d’une humanité faite d’instincts et de pragmatismes. Ainsi est faite la vie des hommes, d’apogées et de déclins. Des ordres nouveaux déracinent les principes qui étaient jusqu’alors des certitudes, et reconduisent les peuples et les civilisations vers un monde inédit, pour le meilleur et pour le pire. Et à l’évidence, le déclin des uns signifiait généralement un monde meilleur pour d’autres, assurés que la justice et le bonheur public étaient sur le bon chemin.
Cependant, bien qu’au regard de l’histoire les projets aient affichés leurs limites et que les désillusions soient perceptibles, on peut toutefois se réjouir et constater que les hommes sont toujours et éternellement sensibles à l’idée qu’un avenir meilleur existe. Pour cela, il est temps que l’Homme, « créé à l’image de D.ieu », comme il est dit dans la Bible, cesse de livrer une guerre à ses facultés intellectuelles et spirituelles et institue la paix avec D.ieu. Des milliers d’hommes et de femmes d’horizons différents adhèrent déjà à cette vérité immuable qui permettrait à l’homme de s’orienter dans un monde sans cesse changeant : l’idée que D.ieu est immanent et transcendant, au-delà de notre entendement intellectuel. C’est surement cela le défit du XXIème siècle : avoir conscience de cette transcendance, alors même que nous vivons dans un monde imparfait qui renait perpétuellement de ses cendres, où l’homme paraît s’accommoder de victoires à la Pyrrhus, et où s’opposent divergences d’intérêts entre pouvoir et liberté. Mais en contrepartie, deux notions inéluctables s’imposent afin de mériter le statut d’Homme : accepter la Royauté divine et bannir le doute.
C’est sous l’égide de l’institut de Recherche Francophone d’Histoire Juive, pour ouvrir le chemin qui conduira au caractère universel du monde, et conformément au message biblique, qu’est né le site Internet www.7loispourlhumanite.org. Celui-ci s’adresse à tous les citoyens du monde sans distinction d’origine, et explore un sujet peu connu du grand public français : celui des sept lois de Noé que l’humanité se doit de respecter. Ce site introduit et stimule la réflexion autour d’un thème métaphysique du Judaïsme : « Qu’en est-il du monde futur et quelle part y avons-nous ? » Ce site est également une invite à l’éternité en tant qu’être spirituel, créé à l’image de D.ieu. Bien évidemment, un tel sujet demande une largesse de vue, et d’autres articles sont en cours de rédaction, ainsi qu’un blog (en plusieurs langues) pour répondre aux questions des internautes.
A ce jour, bien qu’il existe de nombreux messages de sympathies d’hommes politiques à l’égard des 7 lois Noahides qu’il convient d’appeler la Charte des Nations, seuls les États-Unis ont jugé bon d’inclure dans leur Constitution une Journée de l’Éducation et de Réflexion sur ce thème. Alors, à quand une Journée de Réflexion au Sénat français ou un amendement ? En attendant, quelques soient votre nationalité et vos croyances, rendez-vous sur ce site pour accéder à la connaissance…et au véritable monde futur. 7loispourlhumanité.org est assurément une petite Url sur le Web et un grand site pour l’humanité. Alors à bientôt….dans l’ère messianique.
Meyer Tangi
7loispourlhumanite
Pour l’intelligence de son histoire… avec l’aide de D.ieu.
Hebraica.info
Association AKIM
AKIM, Association nationale israelienne en charge des handicapés mentaux en Israel, créee en 1951 par un groupe de parents, fait appel à l'expertise et au dévouement de centaines de volontaires et de professionnels à travers le pays.
AKIM prend en charge 30.000 handicapés mentaux tous âges confondus et aide leurs familles qui doivent faire face aux difficultés quotidiennes Les programmes sont accessibles à tous, y compris aux minorités non juives.
AKIM gère 55 antennes à travers tous le pays de Kyriat Shmona au Nord a Eilat au Sud. Chaque antenne représente la population locale d'handicapés mentaux et leurs familles dans leurs rapports avec l'Administration.
Pour AKIM, chaque handicapé mérite d'avoir les mêmes chances que n'importe quel autre citoyen car son intégration dans la communauté nationale est essentielle.
Une coopération existe dans le domaine du logement, de l'emploi ainsi que dans les activités sociales.
2500 handicapés âgés de plus de 21 ans sont employés dans 59 ateliers protégés D'autres sont également placés dans des emplois proposés sur le marché du travail afin de les aider à progresser ans une autre voie.
8000 personnes sont accueillies dans des foyers et des installations résidentielles au sein de la communauté nationale dans des quartiers résidentiels au sein des villes.
Une assistance d'experts est dispensée aux bébés et aux enfants en bas âge qui fréquentent les crèches et les jardins d'enfants pour leur apporter les soins spéciaux destinés à améliorer graduellement leurs capacités motrices, cognitives et communicatives.
AKIM est à l'origine de projets créatifs tel un projet théâtral et un projet de danse et de musique . Dans la même optique AKIM organise des cours d'art qui se tiennent aux Musées de Tel Aviv, Jerusalem et Haifa.
Le sport n'est pas en reste. AKIM fait partie des Jeux Olympique Spéciaux destinés à encourager les handicapés mentaux à pratiquer des sports de compétition.
Enfin, AKIM est très active dans la défense des droits et des intérêts des handicapés mentaux . Cette activité comprend l'action de groupes de pression à la KNESSET et au sein des Ministères concernés.
AKIM- Israel
Friends of Akim France
President: Mrs Nicole Riahi
1, boulevard de la Madeleine,
75001 Paris,France
Tel: (33) 1 56 28 07 97
AKIM prend en charge 30.000 handicapés mentaux tous âges confondus et aide leurs familles qui doivent faire face aux difficultés quotidiennes Les programmes sont accessibles à tous, y compris aux minorités non juives.
AKIM gère 55 antennes à travers tous le pays de Kyriat Shmona au Nord a Eilat au Sud. Chaque antenne représente la population locale d'handicapés mentaux et leurs familles dans leurs rapports avec l'Administration.
Pour AKIM, chaque handicapé mérite d'avoir les mêmes chances que n'importe quel autre citoyen car son intégration dans la communauté nationale est essentielle.
Une coopération existe dans le domaine du logement, de l'emploi ainsi que dans les activités sociales.
2500 handicapés âgés de plus de 21 ans sont employés dans 59 ateliers protégés D'autres sont également placés dans des emplois proposés sur le marché du travail afin de les aider à progresser ans une autre voie.
8000 personnes sont accueillies dans des foyers et des installations résidentielles au sein de la communauté nationale dans des quartiers résidentiels au sein des villes.
Une assistance d'experts est dispensée aux bébés et aux enfants en bas âge qui fréquentent les crèches et les jardins d'enfants pour leur apporter les soins spéciaux destinés à améliorer graduellement leurs capacités motrices, cognitives et communicatives.
AKIM est à l'origine de projets créatifs tel un projet théâtral et un projet de danse et de musique . Dans la même optique AKIM organise des cours d'art qui se tiennent aux Musées de Tel Aviv, Jerusalem et Haifa.
Le sport n'est pas en reste. AKIM fait partie des Jeux Olympique Spéciaux destinés à encourager les handicapés mentaux à pratiquer des sports de compétition.
Enfin, AKIM est très active dans la défense des droits et des intérêts des handicapés mentaux . Cette activité comprend l'action de groupes de pression à la KNESSET et au sein des Ministères concernés.
AKIM- Israel
Friends of Akim France
President: Mrs Nicole Riahi
1, boulevard de la Madeleine,
75001 Paris,France
Tel: (33) 1 56 28 07 97
Association Hai Bahem
La situation l'exige. L'équipe de l'association Hai Bahem fait de son mieux pour venir en aide chaque jour aux plus démunis en Israel.
Nous pensons que l'aide alimentaire ne suffit pas,c'est pour cela que nous apportons notre soutien dans d'autres domaines tout aussi essentiels.
Une collaboration étroite entre les services sociaux et les Rabbanim des communautés nous permet d'ètre efficaces.
Notre but: Apporter un peu de bonheur dans leur foyer.
Joignez vous a nous! Aidez nous dans l'accomplissement de ces merveilleuses Mitsvot.
Hai Bahem,
c/0 Dr. JM Adda, 14 rue Jacques Daguerre, 92500 Rueil
Malmaison. Téléphone Israel: 972-2-9400139
Les dons a l'association sont déductibles des impots (cerfa)
Nous pensons que l'aide alimentaire ne suffit pas,c'est pour cela que nous apportons notre soutien dans d'autres domaines tout aussi essentiels.
Une collaboration étroite entre les services sociaux et les Rabbanim des communautés nous permet d'ètre efficaces.
Notre but: Apporter un peu de bonheur dans leur foyer.
Joignez vous a nous! Aidez nous dans l'accomplissement de ces merveilleuses Mitsvot.
Hai Bahem,
c/0 Dr. JM Adda, 14 rue Jacques Daguerre, 92500 Rueil
Malmaison. Téléphone Israel: 972-2-9400139
Les dons a l'association sont déductibles des impots (cerfa)
Association Yad Sarah
Yad Sarah est la plus grande organisation de volontaires existante en Israël.
Son objectif est de faciliter la vie des malades, invalides et personnes âgées ainsi que de leurs familles. Elle fournit un large éventail de services gratuits ou à un coût tres raisonnable .
La mission de Yad Sarah est de permettre aux personnes âgées de rester chez elles le plus longtemps possible, solution de loin préférable à un séjour dans une institution.Les soins à domicile et le maintien des personnes concernées dans leur environnement habituel sont les meilleurs moyens de garantir leur rétablissement et/ou leur autonomie de santé, tant sur le plan physique qu’émotionnel. Ces services permettent aussi à l’Etat et aux familles de réduire leurs dépenses.
Le service le plus connu de Yad Sarah est le prêt, à court terme et gratuitement, de fournitures et d’équipements médicaux, service qui s’adresse à toute personne qui en a besoin.
De plus,Yad Sarah propose de nombreux autres prestations, parmi lesquelles, par exemple, le transport de personnes handicapées, des dispensaires et des cliniques dentaires à coûts très avantageux pour les personnes âgées, des alarmes lectroniques d'urgence gérées 24 heures sur 24, des locaux d'exposition de matériel associé à un service de conseil, afin de permettre aux personnes qui en ont besoin de choisir l’équipement d’appoint qui convient à leurs besoins spécifiques.
Yad Sarah fournit aussi des équipements aux jeunes mères et enfants, aux personnes sorties récemment de l’hôpital et aux autres personnes dans le besoin ; de plus, un nombre élevé de volontaires mettent leur créativité au service des personnes ne pouvant quitter leur domicile, leur offrant des activités récréatives et des exercices de récupération.
Les activités annuelles de Yad Sarah sont presque entièrement financées par des dons, dont plus de 70% en provenance d’Israël. Yad Sarah ne peut compter sur aucune aide gouvernementale régulière.
J'espère avoir le privilège de vous accueillir à Yad Sarah lors de votre prochain séjour en Israël et découvrir le travail extraordinaire fourni par cette grande famille.Votre intérêt et soutien a Yad Sarah seront pour nous source de courage et preuve que nous pouvons compter sur nos partenaires naturels.
Je reste à votre entière disposition pour discuter des diverses possibilités de coopération avec Yad Sarah.
Cordial Chalom
Yad Sarah
Rivka Feuchtwanger
Director, Overseas Section
Public Relations Division
Tel.: ++ 972 2-644-4803
Aidez Yad Sarah a aider tout Israel
Son objectif est de faciliter la vie des malades, invalides et personnes âgées ainsi que de leurs familles. Elle fournit un large éventail de services gratuits ou à un coût tres raisonnable .
La mission de Yad Sarah est de permettre aux personnes âgées de rester chez elles le plus longtemps possible, solution de loin préférable à un séjour dans une institution.Les soins à domicile et le maintien des personnes concernées dans leur environnement habituel sont les meilleurs moyens de garantir leur rétablissement et/ou leur autonomie de santé, tant sur le plan physique qu’émotionnel. Ces services permettent aussi à l’Etat et aux familles de réduire leurs dépenses.
Le service le plus connu de Yad Sarah est le prêt, à court terme et gratuitement, de fournitures et d’équipements médicaux, service qui s’adresse à toute personne qui en a besoin.
De plus,Yad Sarah propose de nombreux autres prestations, parmi lesquelles, par exemple, le transport de personnes handicapées, des dispensaires et des cliniques dentaires à coûts très avantageux pour les personnes âgées, des alarmes lectroniques d'urgence gérées 24 heures sur 24, des locaux d'exposition de matériel associé à un service de conseil, afin de permettre aux personnes qui en ont besoin de choisir l’équipement d’appoint qui convient à leurs besoins spécifiques.
Yad Sarah fournit aussi des équipements aux jeunes mères et enfants, aux personnes sorties récemment de l’hôpital et aux autres personnes dans le besoin ; de plus, un nombre élevé de volontaires mettent leur créativité au service des personnes ne pouvant quitter leur domicile, leur offrant des activités récréatives et des exercices de récupération.
Les activités annuelles de Yad Sarah sont presque entièrement financées par des dons, dont plus de 70% en provenance d’Israël. Yad Sarah ne peut compter sur aucune aide gouvernementale régulière.
J'espère avoir le privilège de vous accueillir à Yad Sarah lors de votre prochain séjour en Israël et découvrir le travail extraordinaire fourni par cette grande famille.Votre intérêt et soutien a Yad Sarah seront pour nous source de courage et preuve que nous pouvons compter sur nos partenaires naturels.
Je reste à votre entière disposition pour discuter des diverses possibilités de coopération avec Yad Sarah.
Cordial Chalom
Yad Sarah
Rivka Feuchtwanger
Director, Overseas Section
Public Relations Division
Tel.: ++ 972 2-644-4803
Aidez Yad Sarah a aider tout Israel
Association Sapeurs-Pompiers France-Israel
- Historique de la création de l'association
Durant l’année 2004, au travers d’Internet, des liens étroits ont vu le jour entre des personnes résidant en France, issues du milieu sapeurs-pompiers et Monsieur Dov Ganem demeurant en Israël et créateur de l’association Israël Air Fire Defence .
Monsieur Dov Ganem souhaitait connaître les moyens aériens disponibles en France afin de mettre ces moyens au service des 'firemen‘ Israéliens dans le cadre de la lutte contre les feux de forêts. Après de longs mois de dialogues et d’échanges via les messageries électroniques,il fut décidé qu’une délégation de l’association de Dov Ganem serait reçue dans le département de l’Hérault.
Le Capitaine Michel Corréard, officier au service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault, fut chargé de l’organisation de ce déplacement.
- Délégation du Mois de Septembre 2006
A la demande de l’Etat-major des Sapeurs-Pompiers de l’Etat d’Israël, quatre officiers ont été accueillis sur le département de l’Hérault afin de découvrir les techniques mises en œuvre lors des catastrophes de types inondations ou d’opérations particulières liées aux risques majeurs.
La délégation était composée des personnes suivantes :
* Monsieur le Commandant Shlomo Lubiner
* Monsieur le Sous-Officier Ehud Ben Ezra
* Monsieur le Sous-Officier Avishay Shapir
* Monsieur le Sous-Officier Dan Josefsberg
La programmation de cette semaine fut la suivante :
• Prise en charge à l’Aéroport de Montpellier Fréjorgues
• Accueil au SDIS 34 par le Colonel Cassar (DDSIS34)
• Formation aux techniques de Sauvetage en eaux vives ;
• Formation pilotage embarcations;
• Présentation des moyens terrestres de lutte contre les feux de forêts ;
• Visite de Centre de Secours ;
• Présentation des matériels GRIMP et Risques chimiques ;
• Présentation des moyens aériens départementaux de lutte contre les feux de forets
- Le Projet
A la suite de ces diverses actions au profit des services de secours de l’Etat d’Israël, les personnes impliquées dans l’organisation ont décidé de mettre en place une association de type Loi de 1901 afin de renforcer les relations et les échanges concernant l’ensemble des missions dévolues aux sapeurs-pompiers. Les buts de cette association seront les suivants :
• Renforcer les liens d’amitiés entre les intervenants des deux structures de secours ;
• Etudier toute forme d’action pour aider dans la démarche de qualité pour la formation des personnels ;
• Apporter les connaissances des deux pays dans chaque domaine où le besoin s’en fait
sentir ;
• Analyser les besoins et les moyens à mettre en œuvre dans la gestion des risques majeurs ;
• Evaluer les besoins en matériels lourds nécessaires à la lutte contre les fléaux calamiteux en Israël ;
- Les membres de l’association
Les membres de l’association sont issus de la vie associative et du milieu sapeurs-pompiers.
Le bureau sera constitué lors de la première assemblée générale avec les personnes suivantes
• Michel Corréard ; Officier de Sapeurs-Pompiers Professionnels CD 34
• Raphaël Siboni ; Chef d’entreprise, Interprète Français / Hébreu
• Magali Bouchez ; Agent administratif, Interprète Français / Anglais/
• Jean- Christophe Corréard ; Sous-Officier de Sapeurs-Pompiers Professionnels CD 34
• Jean –Pierre Laprun ; Sapeur-Pompier Volontaire CD34
• Moshe Ohana, Israel Fire and Rescue, Députy Chief Tel Aviv.
- Les moyens humains
Les moyens seront au départ basés sur un pool de spécialistes reconnus dans de nombreux domaines. L’association pourra faire appel à des intervenants es qualité extérieurs à sa structure afin d’apporter les éléments de réponses aux diverses problématiques de chaque situation ciblée.
Chaque publication ou support de cours réalisé par l’un ou l’autre des membres sera mise à disposition de chacun.
- Les moyens matériels
L’association se dotera des matériels indispensables à la gestion quotidienne et à la préparation des supports pédagogiques.
L’association utilisera également tout type de support publicitaire pour faire connaître ses actions en faveur des sapeurs-pompiers des deux pays.
L’association gérera son site Internet qui sera déclaré à la CNIL dès son ouverture.
- Le financement
L’association fera appel aux dons et subventions.
Les collectivités territoriales et locales, les fournisseurs de matériels incendie seront informés de la création de l’association.
Les demandes de subventions accompagnées d’un document reprenant les buts de
l’association seront joints à chaque courrier. Les donateurs obtiendront une attestation de versement envers l’association.
L’association pourra récolter des dons par d’autres actions, telles que revues publicitaires ou formations aux techniques de sécurité et de gestion de crise vers le grand public ou tout autre organisme sollicitant les conseils des membres de l’association.
- Les objectifs à court termes
• Lancement de l’association ;
• Présentation aux médias locaux et nationaux par voie de communiqués ;
• Envoi du dossier de l’association à l’Etat-major des sapeurs-pompiers de l’Etat d’Israël ;
• Envoi du dossier dans les Services Incendie et Secours de France ;
• Information de l’ensemble des communautés et associations Juives ;
• Montage des dossiers de demandes de subventions ;
• Préparation d’échanges entre les Sapeurs-Pompiers des deux pays ;
- Les objectifs réalisés à ce jour
• Assemblée générale
• Rencontre avec l’association Friends of Israël Firefighters;
• Réunion de travail avec le pôle Relation Internationales du Conseil Général de l’Hérault ;
• Interview pour le magasine Actualité Juive ;
• Envoi de courrier auprès des SDIS de France ;
• Envoi de courrier auprès des collectivités territoriales du Sud de la France ;
• Envoi de courrier auprès de la communauté francophone d’Israël
• Réunion de travail avec l’association Languedoc Roussillon International
ASPFI
Département de l’Hérault-France
Président Michel Correard
Durant l’année 2004, au travers d’Internet, des liens étroits ont vu le jour entre des personnes résidant en France, issues du milieu sapeurs-pompiers et Monsieur Dov Ganem demeurant en Israël et créateur de l’association Israël Air Fire Defence .
Monsieur Dov Ganem souhaitait connaître les moyens aériens disponibles en France afin de mettre ces moyens au service des 'firemen‘ Israéliens dans le cadre de la lutte contre les feux de forêts. Après de longs mois de dialogues et d’échanges via les messageries électroniques,il fut décidé qu’une délégation de l’association de Dov Ganem serait reçue dans le département de l’Hérault.
Le Capitaine Michel Corréard, officier au service départemental d’incendie et de secours de l’Hérault, fut chargé de l’organisation de ce déplacement.
- Délégation du Mois de Septembre 2006
A la demande de l’Etat-major des Sapeurs-Pompiers de l’Etat d’Israël, quatre officiers ont été accueillis sur le département de l’Hérault afin de découvrir les techniques mises en œuvre lors des catastrophes de types inondations ou d’opérations particulières liées aux risques majeurs.
La délégation était composée des personnes suivantes :
* Monsieur le Commandant Shlomo Lubiner
* Monsieur le Sous-Officier Ehud Ben Ezra
* Monsieur le Sous-Officier Avishay Shapir
* Monsieur le Sous-Officier Dan Josefsberg
La programmation de cette semaine fut la suivante :
• Prise en charge à l’Aéroport de Montpellier Fréjorgues
• Accueil au SDIS 34 par le Colonel Cassar (DDSIS34)
• Formation aux techniques de Sauvetage en eaux vives ;
• Formation pilotage embarcations;
• Présentation des moyens terrestres de lutte contre les feux de forêts ;
• Visite de Centre de Secours ;
• Présentation des matériels GRIMP et Risques chimiques ;
• Présentation des moyens aériens départementaux de lutte contre les feux de forets
- Le Projet
A la suite de ces diverses actions au profit des services de secours de l’Etat d’Israël, les personnes impliquées dans l’organisation ont décidé de mettre en place une association de type Loi de 1901 afin de renforcer les relations et les échanges concernant l’ensemble des missions dévolues aux sapeurs-pompiers. Les buts de cette association seront les suivants :
• Renforcer les liens d’amitiés entre les intervenants des deux structures de secours ;
• Etudier toute forme d’action pour aider dans la démarche de qualité pour la formation des personnels ;
• Apporter les connaissances des deux pays dans chaque domaine où le besoin s’en fait
sentir ;
• Analyser les besoins et les moyens à mettre en œuvre dans la gestion des risques majeurs ;
• Evaluer les besoins en matériels lourds nécessaires à la lutte contre les fléaux calamiteux en Israël ;
- Les membres de l’association
Les membres de l’association sont issus de la vie associative et du milieu sapeurs-pompiers.
Le bureau sera constitué lors de la première assemblée générale avec les personnes suivantes
• Michel Corréard ; Officier de Sapeurs-Pompiers Professionnels CD 34
• Raphaël Siboni ; Chef d’entreprise, Interprète Français / Hébreu
• Magali Bouchez ; Agent administratif, Interprète Français / Anglais/
• Jean- Christophe Corréard ; Sous-Officier de Sapeurs-Pompiers Professionnels CD 34
• Jean –Pierre Laprun ; Sapeur-Pompier Volontaire CD34
• Moshe Ohana, Israel Fire and Rescue, Députy Chief Tel Aviv.
- Les moyens humains
Les moyens seront au départ basés sur un pool de spécialistes reconnus dans de nombreux domaines. L’association pourra faire appel à des intervenants es qualité extérieurs à sa structure afin d’apporter les éléments de réponses aux diverses problématiques de chaque situation ciblée.
Chaque publication ou support de cours réalisé par l’un ou l’autre des membres sera mise à disposition de chacun.
- Les moyens matériels
L’association se dotera des matériels indispensables à la gestion quotidienne et à la préparation des supports pédagogiques.
L’association utilisera également tout type de support publicitaire pour faire connaître ses actions en faveur des sapeurs-pompiers des deux pays.
L’association gérera son site Internet qui sera déclaré à la CNIL dès son ouverture.
- Le financement
L’association fera appel aux dons et subventions.
Les collectivités territoriales et locales, les fournisseurs de matériels incendie seront informés de la création de l’association.
Les demandes de subventions accompagnées d’un document reprenant les buts de
l’association seront joints à chaque courrier. Les donateurs obtiendront une attestation de versement envers l’association.
L’association pourra récolter des dons par d’autres actions, telles que revues publicitaires ou formations aux techniques de sécurité et de gestion de crise vers le grand public ou tout autre organisme sollicitant les conseils des membres de l’association.
- Les objectifs à court termes
• Lancement de l’association ;
• Présentation aux médias locaux et nationaux par voie de communiqués ;
• Envoi du dossier de l’association à l’Etat-major des sapeurs-pompiers de l’Etat d’Israël ;
• Envoi du dossier dans les Services Incendie et Secours de France ;
• Information de l’ensemble des communautés et associations Juives ;
• Montage des dossiers de demandes de subventions ;
• Préparation d’échanges entre les Sapeurs-Pompiers des deux pays ;
- Les objectifs réalisés à ce jour
• Assemblée générale
• Rencontre avec l’association Friends of Israël Firefighters;
• Réunion de travail avec le pôle Relation Internationales du Conseil Général de l’Hérault ;
• Interview pour le magasine Actualité Juive ;
• Envoi de courrier auprès des SDIS de France ;
• Envoi de courrier auprès des collectivités territoriales du Sud de la France ;
• Envoi de courrier auprès de la communauté francophone d’Israël
• Réunion de travail avec l’association Languedoc Roussillon International
ASPFI
Département de l’Hérault-France
Président Michel Correard
Un Coeur Pour La Paix
Association créée en septembre 2005
- quelle mission ?
Rapprocher les peuples israélien et palestinien par des actions de santé et d’éducation.
- comité d’honneur
Jaques Attali, François Bayrou, Alexandre Couvelaire, Pat Cox, Philippe Douste-blazy, Jean-Michel Dubernard, Claude Evin, Jean-Marc Grognet, Gabriel Malka, Bernard Mesuré, Noël Renaudin, Thierry de la Villle Jegu, Elie Wiesel.
- sponsors
Ministère des Affaires Etrangères, Laboratoires Servier, Boehringer Ingelheim, Pfizer, Léo, Sanofi-Aventis, Schwartz, Wyeth, Ferring, Destination Santé, le LEEM, IMS, Club Med, Un monde par tous et de nombreux particuliers.
- comment ?
Chaque semaine un enfant palestinien atteint de malformations cardiaques mortelles est opéré à l’hôpital israélien Hadassah de Jérusalem par des médecins de Hadassah, israéliens et palestiniens.
L’opération ? Gratuite pour les enfants. Coût ? 12000 euros. Chaque opération est cofinancée à 50/50 par l’hôpital Hadassah et Un cœur pour la Paix.
Cet engagement d’Hadassah de soigner toutes les populations, dès sa création en 1912, lui a valu d’être sélectionné pour le prix Nobel de la paix en 2005.
- bilan en sepembre 2007 ?
78 enfants guéris sont rentrés chez eux en bonne santé.
- Naema, son histoire
Naema, jeune femme palestinienne est enceinte de 8 mois. L’échographie montre que son bébé est atteint d’une grave malformation cardiaque. Sans opération à la naissance, le bébé ne survivra pas. Les deux médecins, l’Israélien et le Palestinien de Gaza se concertent. La décision est prise. Naema accouchera à Hadassah.
2 heures après son arrivée, le bébé est né.
12 heures après, il est opéré. Sauvé !
Un Coeur pour la Paix
48 rue Cortambert, 75 016 Paris - France
Présidente Muriel Haim - Médecin
REPONSE
Un grand merci a Muriel qui nous présente l'association Un coeur pour la paix ,pour le rapprochement des peuples israelien et palestinien. Bon courage !
Shalom - Salaam
Marcel
- quelle mission ?
Rapprocher les peuples israélien et palestinien par des actions de santé et d’éducation.
- comité d’honneur
Jaques Attali, François Bayrou, Alexandre Couvelaire, Pat Cox, Philippe Douste-blazy, Jean-Michel Dubernard, Claude Evin, Jean-Marc Grognet, Gabriel Malka, Bernard Mesuré, Noël Renaudin, Thierry de la Villle Jegu, Elie Wiesel.
- sponsors
Ministère des Affaires Etrangères, Laboratoires Servier, Boehringer Ingelheim, Pfizer, Léo, Sanofi-Aventis, Schwartz, Wyeth, Ferring, Destination Santé, le LEEM, IMS, Club Med, Un monde par tous et de nombreux particuliers.
- comment ?
Chaque semaine un enfant palestinien atteint de malformations cardiaques mortelles est opéré à l’hôpital israélien Hadassah de Jérusalem par des médecins de Hadassah, israéliens et palestiniens.
L’opération ? Gratuite pour les enfants. Coût ? 12000 euros. Chaque opération est cofinancée à 50/50 par l’hôpital Hadassah et Un cœur pour la Paix.
Cet engagement d’Hadassah de soigner toutes les populations, dès sa création en 1912, lui a valu d’être sélectionné pour le prix Nobel de la paix en 2005.
- bilan en sepembre 2007 ?
78 enfants guéris sont rentrés chez eux en bonne santé.
- Naema, son histoire
Naema, jeune femme palestinienne est enceinte de 8 mois. L’échographie montre que son bébé est atteint d’une grave malformation cardiaque. Sans opération à la naissance, le bébé ne survivra pas. Les deux médecins, l’Israélien et le Palestinien de Gaza se concertent. La décision est prise. Naema accouchera à Hadassah.
2 heures après son arrivée, le bébé est né.
12 heures après, il est opéré. Sauvé !
Un Coeur pour la Paix
48 rue Cortambert, 75 016 Paris - France
Présidente Muriel Haim - Médecin
REPONSE
Un grand merci a Muriel qui nous présente l'association Un coeur pour la paix ,pour le rapprochement des peuples israelien et palestinien. Bon courage !
Shalom - Salaam
Marcel
Point de vue sur Israel !
You and others can respond, but I refuse to debate. That is not my calling; I'm simply explaining my point of view.
1. After returning from the Babylonian Exile, there grew a bit of rift between the Returnees and those who stayed. A part of the rift included the arrogance of those who stayed, insisting the soil of Babylon was more holy, because the Great Synagogue was there. Naturally, the Returnees reacted. A part of that reaction was embracing Zechariah's Messianic prophecies, but they applied a rather materialistic meaning. There were plenty of false prophets who kept this going. It bred a spirit of competition, a desire to reject the teachings of the Great Synagogue in some way.
2. These same Returnees made a strong bond with the Jewish community in Egypt. After Alexander's Conquest, his successor insisted on building the library and university at Alexandria, including many Jewish rabbincal scholars. These scholars embraced Greek philosophical assumptions, Plato and Aristotle, mostly. This pulled them away from their original Eastern Hebrew cultural heritage. Instead of the ancient Semitic logical forms (a branch of Eastern mysticism), they adopted more Western rationalist forms.
At the same time, this community became far wealthier than the old blue bloods in Babylon.
3. By the time Jesus comes along, He is fighting to recover the old Hebraic frame of reference. Most of his arguments with the Pharisees are based on this. They had become quite materialistic, teaching such things
as: the primary sign of Jehovah's favor was wealth; poverty was His curse.
Jesus turned that upside down in Sermon the Mount. He taught poverty and wealth had no significance in the Kingdom of Heaven. While some of the Talmud does praise such a morality, most Pharisees paid mere lip service to such a spiritual viewpoint.
4. While there are a few schools of modern Judaism which are aware of this disparity between the ancient other-worldly viewpoint, it's pretty rare.
Having encountered quite a large number of religious Jews, especially in the military, I find the majority are rather Pharisaical.
Ed Hurst
Oklahoma - USA
1. After returning from the Babylonian Exile, there grew a bit of rift between the Returnees and those who stayed. A part of the rift included the arrogance of those who stayed, insisting the soil of Babylon was more holy, because the Great Synagogue was there. Naturally, the Returnees reacted. A part of that reaction was embracing Zechariah's Messianic prophecies, but they applied a rather materialistic meaning. There were plenty of false prophets who kept this going. It bred a spirit of competition, a desire to reject the teachings of the Great Synagogue in some way.
2. These same Returnees made a strong bond with the Jewish community in Egypt. After Alexander's Conquest, his successor insisted on building the library and university at Alexandria, including many Jewish rabbincal scholars. These scholars embraced Greek philosophical assumptions, Plato and Aristotle, mostly. This pulled them away from their original Eastern Hebrew cultural heritage. Instead of the ancient Semitic logical forms (a branch of Eastern mysticism), they adopted more Western rationalist forms.
At the same time, this community became far wealthier than the old blue bloods in Babylon.
3. By the time Jesus comes along, He is fighting to recover the old Hebraic frame of reference. Most of his arguments with the Pharisees are based on this. They had become quite materialistic, teaching such things
as: the primary sign of Jehovah's favor was wealth; poverty was His curse.
Jesus turned that upside down in Sermon the Mount. He taught poverty and wealth had no significance in the Kingdom of Heaven. While some of the Talmud does praise such a morality, most Pharisees paid mere lip service to such a spiritual viewpoint.
4. While there are a few schools of modern Judaism which are aware of this disparity between the ancient other-worldly viewpoint, it's pretty rare.
Having encountered quite a large number of religious Jews, especially in the military, I find the majority are rather Pharisaical.
Ed Hurst
Oklahoma - USA
Les Tribus perdues
Around the time of 1900 B.C.E., there was a man named Jacob who was the ancestor of the people of Israel. Later Jacob's name was changed to Israel.
Israel had 12 sons, who were Reuben, Simeon, Levi, Judah, Zevulun, Issachar, Dan, Gad, Asher, Naphtali, Joseph, and Benjamin. The descendants of these sons formed 12 tribes of Israel. These 12 tribes are called "Israelites".
When they had territories in Canaan (Israel, Holy Land), the tribe of Levi did not have a territory for they were the tribe of priests. Instead, the tribe of Joseph was divided into the tribes of Ephraim and Manasseh and have their own territories. Thus the land of Canaan was divided into 12 territories.
Later, the 12 tribes of Israel experienced the height of prosperity in the time of King Solomon in the 10th century B.C.E.. But after Solomon died, the united kingdom of Israel was divided into two countries: One is the Northern Kingdom of Israel and the other the Southern Kingdom of Judah. The Northern Kingdom is also called Samaria, the Southern Kingdom is also called Judea.
The word "Jews" is used basically for the people and descendants of Judea, the Southern Kingdom, but sometimes used for the same meaning as Israelites.
The Ten tribes of Israel belonged to Samaria, the Northern Kingdom of Israel. They were Reuben, Gad, Ephraim, Issachar, Zevulun, Naphtali, Asher, Dan, Manasseh and (a part of) Benjamin. While the other tribes belonged to the Southern Kingdom of Judah.
In the 8th century B.C.E., the Northern Kingdom of Israel was conquered by the army of Assyrian empire, and the Ten Tribes of Israel was led captive and compelled to march to the land of Assyria. They did not come back to the land of Israel. They are so called "the Ten Lost Tribes of Israel."
According to a book written by Rabbi Marvin Tokayer, the Pathans have custom of circumcision on the 8th day. This is a known Jewish custom, and is the oldest Jewish tradition. Rabbi Tokayer once told me that he had witnessed and been present at a very joyous circumcision ceremony on the 8th day after birth among the Pathans. Muslims have custom of circumcision but it is not on the 8th day, usually at the age of 12.
The Pathans have a sort of small Tallit called Kafan. This is a 4 cornered garment which they tie strings similar to the fringes (Jews call them Tzitzit) and is one of the oldest Jewish traditions going back to the Torah and it is a sign of their Israeli origin.
The Pathans have custom of the Sabbath, Israeli tradition of the day of rest. On the Sabbath they do not labor, cook or bake. The Pathans prepare 12 Hallot (traditional Jewish bread, Leviticus 24:5) in honor of the Sabbath as was done in the ancient Israeli temple. One of the significant indicators proving the Israeli origins of the Pathans is the lighting of the candle to honor the Sabbath. After lighting, the candle is covered usually by a large basket. The candle is lit by a woman past her menopause. This is the same as Israeli custom.
Pathans have custom of Kosher, diatary laws same as Jews. Pathans do not eat horse or camel meat, which is most common in their area but forbidden to Jews. There is some evidence to their not eating meat and milk together which is also an ancient Israeli tradition. And they have a tradition regarding differentiating between pure and impure birds which means permitted and not permitted birds similar to the Torah.
Some still wear a small box which Jews call Tefillin (phylactery) containing a verse of the Bible. This box resemble Japanese Tokin of Yamabushi's forehead, too, which I will mention later. This is an ancient custom of Israel. In the Jewish box there is the verse of Shema Israel, that is, "Hear, O Israel: The Lord our God, the Lord is one!" (Deuteronomy 6:4) This custom of Tefillin came from a verse of the Scriptures, "You shall bind them as a sign on your hand, and they shall be as frontlets between your eyes" (Deuteronomy 6:8).
It is interesting to note that the Pathans retain family names of the Lost Tribes such as Asher, Gad, Naphtali, Reuben and Manasseh and Ephraim. Among them there are people who are called by these names, which are of the Ten Lost Tribes of Israel. There are also people who are called Israel, Samuel, and so on, which are never found among the Muslims.
The Pathans were mostly called "Bani-Israel" meaning children of Israel even though they live today as devout Muslims.
The legal system which is known as Pashtunwali, the law of the Pashtu, is very similar to the Torah, which is the holiest Jewish book and the book of ancient Jewish way of life. There are pages and even complete books among the pathans and they honor greatly what is called Tavrad El Sharif (the Torah of Moses), and they rise at the mention of the name of Moses even though it is not important in Islam.
Besides the oral tradition related by the elders of the tribe, there are also interesting testimonies of keeping of scrolls of genealogy among the tribes, reaching back to the Fathers of the Jewish nation. These scrolls are well preserved and some are written in gold on the skins of a doe.
No less interesting and significant are the names of the tribes which bear close resemblance to the Tribes of Israel. The Rabbani Tribe is really Reuben, the Shinware Tribe is Simeon, the Lewani Tribe is Levi, The Daftani Tribe is Naphtali, and the Jaji Tribe is Gad, and the Ashuri Tribe is Asher, The Yusefsai Tribe is children of Joseph, and the Afridi Tribe is really Ephraim. These are the names of the Ten Lost Tribes of Israel.
The Pathans themselves point out the differences between the original names of the tribes and their present names are because of the different dialects of the languages so that, for instance, Jaji was actually called Gaji for the tribe of Gad.
Women of the Pathans keep laws similar to the Jewish laws regarding menstruation. During this time and for 7 days after, no contact is allowed with the husband. After this period, the woman immerses in a river or spring or in a bathhouse if a natural spring is not available. This is exactly the same as the Israeli tradition going back to the days of the Bible.
Adeel Khan
Karachi - Pakistan
REPONSE
Salaam Adeel!
merci pour cette etude sur les Tribus perdues d'Israel.
Vous avez une vaste connaissance des textes bibliques et vous etes toujours le bienvenu ici!
Marcel
Israel had 12 sons, who were Reuben, Simeon, Levi, Judah, Zevulun, Issachar, Dan, Gad, Asher, Naphtali, Joseph, and Benjamin. The descendants of these sons formed 12 tribes of Israel. These 12 tribes are called "Israelites".
When they had territories in Canaan (Israel, Holy Land), the tribe of Levi did not have a territory for they were the tribe of priests. Instead, the tribe of Joseph was divided into the tribes of Ephraim and Manasseh and have their own territories. Thus the land of Canaan was divided into 12 territories.
Later, the 12 tribes of Israel experienced the height of prosperity in the time of King Solomon in the 10th century B.C.E.. But after Solomon died, the united kingdom of Israel was divided into two countries: One is the Northern Kingdom of Israel and the other the Southern Kingdom of Judah. The Northern Kingdom is also called Samaria, the Southern Kingdom is also called Judea.
The word "Jews" is used basically for the people and descendants of Judea, the Southern Kingdom, but sometimes used for the same meaning as Israelites.
The Ten tribes of Israel belonged to Samaria, the Northern Kingdom of Israel. They were Reuben, Gad, Ephraim, Issachar, Zevulun, Naphtali, Asher, Dan, Manasseh and (a part of) Benjamin. While the other tribes belonged to the Southern Kingdom of Judah.
In the 8th century B.C.E., the Northern Kingdom of Israel was conquered by the army of Assyrian empire, and the Ten Tribes of Israel was led captive and compelled to march to the land of Assyria. They did not come back to the land of Israel. They are so called "the Ten Lost Tribes of Israel."
According to a book written by Rabbi Marvin Tokayer, the Pathans have custom of circumcision on the 8th day. This is a known Jewish custom, and is the oldest Jewish tradition. Rabbi Tokayer once told me that he had witnessed and been present at a very joyous circumcision ceremony on the 8th day after birth among the Pathans. Muslims have custom of circumcision but it is not on the 8th day, usually at the age of 12.
The Pathans have a sort of small Tallit called Kafan. This is a 4 cornered garment which they tie strings similar to the fringes (Jews call them Tzitzit) and is one of the oldest Jewish traditions going back to the Torah and it is a sign of their Israeli origin.
The Pathans have custom of the Sabbath, Israeli tradition of the day of rest. On the Sabbath they do not labor, cook or bake. The Pathans prepare 12 Hallot (traditional Jewish bread, Leviticus 24:5) in honor of the Sabbath as was done in the ancient Israeli temple. One of the significant indicators proving the Israeli origins of the Pathans is the lighting of the candle to honor the Sabbath. After lighting, the candle is covered usually by a large basket. The candle is lit by a woman past her menopause. This is the same as Israeli custom.
Pathans have custom of Kosher, diatary laws same as Jews. Pathans do not eat horse or camel meat, which is most common in their area but forbidden to Jews. There is some evidence to their not eating meat and milk together which is also an ancient Israeli tradition. And they have a tradition regarding differentiating between pure and impure birds which means permitted and not permitted birds similar to the Torah.
Some still wear a small box which Jews call Tefillin (phylactery) containing a verse of the Bible. This box resemble Japanese Tokin of Yamabushi's forehead, too, which I will mention later. This is an ancient custom of Israel. In the Jewish box there is the verse of Shema Israel, that is, "Hear, O Israel: The Lord our God, the Lord is one!" (Deuteronomy 6:4) This custom of Tefillin came from a verse of the Scriptures, "You shall bind them as a sign on your hand, and they shall be as frontlets between your eyes" (Deuteronomy 6:8).
It is interesting to note that the Pathans retain family names of the Lost Tribes such as Asher, Gad, Naphtali, Reuben and Manasseh and Ephraim. Among them there are people who are called by these names, which are of the Ten Lost Tribes of Israel. There are also people who are called Israel, Samuel, and so on, which are never found among the Muslims.
The Pathans were mostly called "Bani-Israel" meaning children of Israel even though they live today as devout Muslims.
The legal system which is known as Pashtunwali, the law of the Pashtu, is very similar to the Torah, which is the holiest Jewish book and the book of ancient Jewish way of life. There are pages and even complete books among the pathans and they honor greatly what is called Tavrad El Sharif (the Torah of Moses), and they rise at the mention of the name of Moses even though it is not important in Islam.
Besides the oral tradition related by the elders of the tribe, there are also interesting testimonies of keeping of scrolls of genealogy among the tribes, reaching back to the Fathers of the Jewish nation. These scrolls are well preserved and some are written in gold on the skins of a doe.
No less interesting and significant are the names of the tribes which bear close resemblance to the Tribes of Israel. The Rabbani Tribe is really Reuben, the Shinware Tribe is Simeon, the Lewani Tribe is Levi, The Daftani Tribe is Naphtali, and the Jaji Tribe is Gad, and the Ashuri Tribe is Asher, The Yusefsai Tribe is children of Joseph, and the Afridi Tribe is really Ephraim. These are the names of the Ten Lost Tribes of Israel.
The Pathans themselves point out the differences between the original names of the tribes and their present names are because of the different dialects of the languages so that, for instance, Jaji was actually called Gaji for the tribe of Gad.
Women of the Pathans keep laws similar to the Jewish laws regarding menstruation. During this time and for 7 days after, no contact is allowed with the husband. After this period, the woman immerses in a river or spring or in a bathhouse if a natural spring is not available. This is exactly the same as the Israeli tradition going back to the days of the Bible.
Adeel Khan
Karachi - Pakistan
REPONSE
Salaam Adeel!
merci pour cette etude sur les Tribus perdues d'Israel.
Vous avez une vaste connaissance des textes bibliques et vous etes toujours le bienvenu ici!
Marcel
Pour un Mémorial a Rebero
Je ne peux décrire l'émotion qui m'a saisie à la visite du mémorial de la Shoah. Je me suis arrêtée longtemps devant le mur des Noms. Je ne pouvais m'en détacher. J'aurais voulu lire tous ces noms à haute voix, évidemment ce n'était pas possible.
Bien sûr je pensais aussi aux miens ( ce n'était pas, je pense, faire injure à ceux qui sont morts bien avant eux sous la barbarie nazie), aux 37 membres de ma famille, à tous les habitants des villages de Gitwe, Gitagata, Cyohoha, dont les restes ont été jetés pêle-mêle dans un grand ossuaire. Ils ont été massacrés pour la plupart sur la colline de Rebero.
Dans mon livre Inyenzi ou les Cafards, j'avais écrit:" On n'a pas érigé de mémorial à Rebero. Rien qui rappelle ceux qui sont tombés, que des roches et des pierres blanches et rousses." Cette phrase me poursuit comme un remords. Je n'ai pas accompli ce que me demandaient les miens: ériger une stèle où graver leurs noms.
Mais je garde espoir que les personnes qui ont compris et comprendront ma souffrance m'aideront un jour à ériger un monument, si modeste soit-il, dans le respect de ceux qui sont et de ceux qui ne sont plus.
Scholastique Mukasonga Ecrivaine
Rwanda
REPONSE
C'est avec émotion que je transmets votre lettre qui j'espère fera connaitre au monde votre juste combat avec l'aide de toute la communaute Juive.
Marcel
Bien sûr je pensais aussi aux miens ( ce n'était pas, je pense, faire injure à ceux qui sont morts bien avant eux sous la barbarie nazie), aux 37 membres de ma famille, à tous les habitants des villages de Gitwe, Gitagata, Cyohoha, dont les restes ont été jetés pêle-mêle dans un grand ossuaire. Ils ont été massacrés pour la plupart sur la colline de Rebero.
Dans mon livre Inyenzi ou les Cafards, j'avais écrit:" On n'a pas érigé de mémorial à Rebero. Rien qui rappelle ceux qui sont tombés, que des roches et des pierres blanches et rousses." Cette phrase me poursuit comme un remords. Je n'ai pas accompli ce que me demandaient les miens: ériger une stèle où graver leurs noms.
Mais je garde espoir que les personnes qui ont compris et comprendront ma souffrance m'aideront un jour à ériger un monument, si modeste soit-il, dans le respect de ceux qui sont et de ceux qui ne sont plus.
Scholastique Mukasonga Ecrivaine
Rwanda
REPONSE
C'est avec émotion que je transmets votre lettre qui j'espère fera connaitre au monde votre juste combat avec l'aide de toute la communaute Juive.
Marcel
Vous pouvez ecrire soit
- a ou pour une association
- a une institution,fondation...
- repondre a cette lettre
- ou meme ecrire sur un theme particulier
Laissez moi votre lettre je la posterai pour vous!
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